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Pourquoi s’obstiner à vouloir faire du neuf avec du vieux ?

« Rassemblement National » ! C’est vraiment faire preuve de peu d’imagination que de vouloir réutiliser ce nom qui n’a jamais servi à rien, puisqu’il n’a jamais rassemblé.

Déjà en 1965, lorsque je participais à la campagne présidentielle de Jean-Louis Tixier-Vignancour, nous étions sous cette bannière « Rassemblement National ».

En 1985, Jean-Marie Le Pen l’utilisait lors des élections cantonales et, l’année suivante, lors des élections législatives et, ni dans un cas comme dans l’autre, il n’a jamais rien rassemblé !

Marine Le Pen n’a-t-elle pas compris, et pourtant il y a belle lurette qu’elle aurait dû le comprendre, que ce n’est pas le « Front National » qui faisait, et fait toujours peur, à une majorité de Français frileux. C’est son nom, Le Pen, qui est diabolisé et, par conséquent, le FN, et elle ne peut pas y faire grand-chose car elle ne peut pas changer de patronyme.

Quel que soit le nom choisi il y aura toujours l’empreinte Le Pen, elle n’y peut rien !

Le Pen c’était et ce sera toujours l’opposition et jamais le rassemblement.

Et cela malgré la bonne volonté d’un Thierry Mariani, qui est bien loin de « rassembler » les Républicains.

A plusieurs reprises, au cours de son discours de clôture, Marine Le Pen a prononcé le nom qui aurait dû être retenu justement pour remplacer « Front National ». C’est ce nom qu’elle aurait dû proposer, c’est ce nom qu’on aurait dû lui conseiller.

Fi de rassemblement illusoire, pour le moment et pour longtemps, le Front National devrait s’appeler « Les Nationaux » tout simplement. C’est le nom que Marine le Pen aurait dû choisir.

« Les Nationaux », fiers de leur identité française auraient pu, dès lors, rassembler sous cette nouvelle appellation, tenant compte surtout que, même si certains puissent en douter, c’est toujours « l’immigration » qui reste, et restera, le thème prioritaire de la « Flamme tricolore ».

Alors que nous sommes de plus en plus menacés, et que cette menace semble inéluctable, par un envahissement africain qui ne fera que s’amplifier jusqu’au point, peut-être, d’effacer notre Nation, je n’hésite pas à affirmer que c’est la « décolonisation » qui est entièrement responsable de ce fléau.

Sont-ils plus heureux, aujourd’hui, les Africains ? Qui oserait affirmer cela ? Mis à part, bien entendu, les descendants de ces ex colonisés qui vivent en France, loin des pays de leurs ancêtres, leurs meilleures années, et les gauchistes, des socialistes jusqu’à l’extrême gauche, qui trouvent, dans ces descendants, et depuis toujours, leur plus fidèle base électorale ?

Que la question soit posée aux Africains qui, sur place, crêvent de faim et d’épidémies et dont le seul avenir est la fuite !

La colonisation exploitait l’Afrique, certes, pourquoi le nier, mais en l’exploitant elle la modernisait, la transformait, l’actualisait, et les africains en bénéficiaient forcément et ils ne venaient pas chercher  en Europe ce que l’Europe leur apportait à domicile !

Bien sûr, il n’est pas question de la coloniser de nouveau, et surtout de ne plus « offrir » des milliards aux « roitelets » que nos gouvernements mettaient en place pour se remplir les poches, mais de poursuivre et d’amplifier son exploitation pour le plus grand bénéfice de sa population et qu’elle en recueille sur place tous les bienfaits.

J’espère que les militants du FN, qui doivent, paraît-il, se prononcer sur le choix d’un nouveau nom, réaliseront que « Rassemblement » ne bénéficiera en aucun cas à la destinée de l’ex Front National et qu’ils imposeront celui qui semble le mieux représenter son idéal, la Nation, donc « Les Nationaux ». CQFD !   

 

 

 

 

 

 

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