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On ne vous dit pas tout !

Le quotidien « La Voix du Nord » a signalé ce fait divers, mais il n’a pas été repris par les chaines de télévision et nous l’apprenons par le média espagnol « Casoaislado ».

Le 4 octobre, à Calais (Nord), une jeune femme bénévole et très engagée dans la défense de l’arrivée massive de migrants illégaux, a été violée par un migrant d’origine marocaine, également volontaire dans la même association d’accueil des migrants.

Il l’a entraîné dans le camping « Les Palominos » et l’a forcé à avoir une relation sexuelle non consentie.

L’association a confirmé avoir « expulsé » le volontaire et apporter toute son aide à la jeune victime qui a dénoncé ce viol.

Le procureur, Pascal Marcouville, a déclaré que la plainte pour viol avait été enregistrée au commissariat de Calais.

Ce n’est pas la première fois qu’une bénévole d’association, partisane d’une immigration massive, est violentée.

« Casoaislado » signale également que le 3 octobre a comparu devant les magistrats de Viscaya (Pays basque espagnol), un migrant d’origine marocaine accusé d’avoir pratiqué un viol anal, avec l’aide d’un complice, sur une petite fille de 14 ans, lors des fêtes d’Halloween, en 2016, dans la cité de Lejona.

Il a affirmé ne pas connaître la fillette, qu’il avait auparavant saoulée, mais n’a pas pu expliquer clairement la présence de l’ADN de la petite fille à l’intérieur de son caleçon.

Cependant, les magistrats ont décidé, contre toute attente, de le laisser en liberté.

Ils ont estimé que la petite fille avait été « l’objet passif » de cette introduction anale et que la culpabilité des migrants n’était pas démontrée.

On peut se demander comment l’ADN de cette fillette a pu se retrouver dans le caleçon du migrant s’il n’a eu aucune relation avec elle, passive ou non ?

Toujours de la même source espagnole, la police de Torre del Mar, une localité proche de Malaga (Andalousie) a appréhendé dimanche, dans les premières heures de la matinée, un migrant d’origine marocaine, âgé de 41 ans, qui agressait et tentait de violer en pleine rue une jeune femme de 21 ans.

La patrouille de police qui passait à ce moment-là a mis fin à cette agression violente.

Le marocain a été mis à la disposition de la justice. Sera-t-il expulsé ?

A quelques dizaines de kilomètres de Malaga, toujours en Andalousie mais près de Grenade, c’est un policier de la « Guardia Civil », marié et père de famille, âgé de 49 ans, qui a été abattu d’un coup de feu tiré dans l’abdomen.

Dans la matinée de ce lundi 15 octobre, ce policier de « La Benemérita », en poste à « La Zumbia », a intercepté un véhicule suspect dans la localité de Huétor Vega.

Ses occupants venaient de commettre un cambriolage à « Las Gabias » et étaient identifiés.

Ils sont sortis du véhicule et ont tiré sur le policier, le blessant grièvement au ventre. Il est décédé quelques heures plus tard.

Castelnaudary (Aude) – Samedi vers 23 h, alertée par des voisins, qui entendaient les cris d’un couple qui se disputait violemment, la patrouille de police a découvert, en arrivant sur les lieux, une fillette de 11 ans dans son lit, baignant dans son sang, grièvement blessée par plusieurs coups de couteau.

Elle est décédée quelques heures plus tard à l’hôpital.

C’est sa belle-mère qui l’aurait poignardé à mort alors qu’elle dormait dans son lit.

La belle-mère et le père ont été placés en garde à vue. Une information a été ouverte et une autopsie sera pratiquée.

Nous ignorons les identités et les origines de ces criminels mais dans le prochain crime nous savons de qui il s’agit :

Reims (Marne) -  Vendredi dernier, aux environs de 19 h 30, les pompiers sont alertés par un couple habitant depuis six mois un logement insalubre dans un immeuble situé Boulevard Charles-Arnould, dans le quartier Clairmarais.

La mère leur indique avoir retrouvé son bébé « froid » alors qu’il dormait à même le sol sur une paillasse.

Malgré les tentatives de réanimation l’enfant est mort un peu plus tard.

Les pompiers alertent la police après avoir constaté l’état du bébé, qui ne pesait que 6 k 2 à l’âge de 13 mois, certainement privé de nourriture et de soins depuis toujours et de nombreuses blessures sur tout le corps. Trop nombreuses et effrayantes pour les décrire ici.

Des violences répétées depuis plusieurs mois, à l’aide même de câbles électriques, selon le procureur de Reims, Matthieu Bourrette, une cinquantaine de lésions et de brûlures, un hématome cérébral et des traces de sang sur la paillasse.

Le médecin conclu que la cause principale du décès était due à la malnutrition et au manque de soin : ses cotes étaient visibles, une gingivite et un scorbut résultat d’une importante carence nutritionnelle et atteint du VIH, comme ses parents.

Le couple, Omar B., d’origine mauritanienne, âgé de 34 ans, et Arlette Marie-Rose, d’origine ivoirienne, âgée de 22 ans, arrivé à Reims il y a moins d’un an, a été placé en garde à vue.

Il avait déjà eu un autre enfant, en 2014, qui avait fait l’objet d’un placement judiciaire en 2016.

On se demande pourquoi les services sociaux ne se sont pas préoccupés de ce second enfant, sachant ce qui était arrivé au premier ?

Le mauritanien a rejeté toute la responsabilité sur sa compagne ivoirienne.

Tous deux encourent, et méritent, la réclusion perpétuelle.

Seine-Saint-Denis – Samedi vers 19 h, une nouvelle fois deux bandes de voyous ont organisé une bataille rangée près du centre-ville. D’un côté celle des Lilas et de l’autre celle de la cité voisine de Bagnolet, au nord-est de Paris.

Une vingtaine de « jeunes ados », comme la presse aux ordres les décrit, armés de barres de fer, de bâtons, de battes de base-ball, etc. se sont « bastonnés » allègrement, sous l’indifférence générale de riverains habitués à ce genre de spectacle.

Ce qui est moins habituel c’est qu’un jeune voyou de 12 ans, de la bande de Bagnolet, est mort.

Grièvement blessé, il avait été transporté vers l’hôpital le plus proche pour des blessures aux jambes et sur tout le corps.

Une autopsie va être effectuée pour déterminer les causes exactes du décès.

L’enquête a été confiée à la Police Judiciaire du département mais aucune interpellation pour le moment.

Selon le ministère de l’Intérieur, il y aurait actuellement une centaine de bandes de quartier organisées sur le territoire français, dont près de 50% à Paris et sa région.

Ce chiffre ne tient pas compte des bandes non structurées et donc considérées comme « non actives ».

Dans 80% des dossiers examinés des armes ont été utilisées.

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