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L’Italie et la Pologne se rencontrent ce prochain 9 janvier à Varsovie afin de former un front commun contre l’immigration clandestine et tenter ainsi de protéger l’Europe.
Ce sera le premier voyage à l’étranger de Mattéo Salvini, ministre de l’Intérieur italien et il rejoindra le premier ministre polonais Jaroslaw Kaczynski.
Tous deux espèrent réunir autour de leur projet des pays comme la Hongrie, l’Autriche, la Suède et quelques autres.
Marine Le Pen, présidente du Rassemblement National, fera partie de cette alliance avant même les élections européennes.
Le parti espagnol « VOX », qui vient de réussir une percée spectaculaire aux élections andalouses, proposera cette alliance à l’Espagne si un prochain jour il accède aux commandes.
64.298 migrants clandestins sont entrés en Espagne depuis le début de l’année 2018, encouragés par le socialiste Pedro Sanchez et l’extrême gauche Podemos et, depuis, les faits divers se multiplient sur la péninsule ibérique et la population se montrent de plus en plus révoltée, malgré les ordres donnés aux médias de « censurer » la diffusion de ces crimes.
Encore tout dernièrement, dans la nuit de la Saint-Sylvestre, quatre jeunes migrants d’origine équatorienne, âgés de 19,21,22 et 24 ans, ont drogué puis violé en groupe une jeune femme de 19 ans, dans cette localité pourtant bien tranquille, jusqu’à aujourd’hui, de Callosa d’En Sarria, à 40 kilomètres d’Alicante, tellement apprécié pour sa production internationale de nèfles, oranges, citrons, etc. et qui se situe juste au-dessus de la si touristique cité de Bénidorm.
La jeune femme, qui connaissait de vue deux membres du groupe, a été invité à boire un verre. Ils ont profité de l’occasion pour la droguer et la violer en groupe.
Cela s’est passé au rez-de-chaussée d’une maison et la scène a été filmée.
La guardia civil a saisi la vidéo où l’on aperçoit l’un des violeurs remettre son pantalon, cependant qu’un second poursuit le viol.
La jeune femme a été retrouvée totalement dénudée et elle ne se souvenait de rien, encore sous l’emprise de la drogue.
L’un des quatre violeurs, celui âgé de 24 ans, avait déjà des antécédents judiciaires pour avoir agressé sexuellement une mineure.
Ils ont été placés en détention, sans caution.
L’OIM (Organisation Internationale pour la Migration) a confirmé la pénétration en Espagne, par les côtes andalouses, de plus de 60.000 migrants clandestins en provenance directement des côtes marocaines aux environs de Tanger, et espagnoles de Melilla et Ceuta.
Et cela bien que la police marocaine ait démantelé, encore tout récemment, un réseau de passeurs dans la région de Tanger.
Des criminels impliqués dans l’organisation et l’exportation d’émigration clandestine.
Quatre individus arrêtés, dont le propriétaire d’une maison dans laquelle se trouvaient 17 candidats et, parmi eux, 14 algériens (Communiqué de la Direction Générale de la Sureté Nationale).
Des passeports, de l’argent en espèces, des devises européennes et des gilets de sauvetage plus deux voitures, ont été saisis.
La veille, dans la région de Salé (à l’embouchure de Rabat), une tentative d’émigration illégale, concernant 89 candidats marocains, avait pu être stoppée et les trois passeurs emprisonnés.
Depuis début 2018, selon les autorités marocaines, 68.000 tentatives ont pu être empêchées et 122 réseaux criminels actifs interpellés.
C’est la raison principale pour laquelle les navires des ONG complices, de toutes nationalités, quittent ces eaux, près du détroit de Gibraltar, qui ne sont plus tellement rentables et reprennent le chemin de la Libye, plus intéressant financièrement.
