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Mais dans quel pays vivons-nous ? Ce pays n’est plus la France que nous avons connue, la France que nous avons aimée et il m’étonnerait fort que nous le retrouvions un jour !

Dans le département du Pas de Calais, et plus précisément à Avion, le maire communiste, Jean-Marc Tellier, se trouve devant une situation inextricable : La délinquance met en danger tous les habitants d’une tour d’un ensemble HLM.

Ils sont confrontés quotidiennement à des actes de vandalismes particulièrement graves et même ces dernières semaines à plusieurs incendies volontaires destinés à les terroriser et à les faire fuir.

Selon toute logique les forces de l’ordre devraient intervenir, justement pour rétablir cet ordre qui est bafoué, en appréhendant et incarcérant tous ceux qui le mérite, cette racaille qui fait régner sa loi, et en expulsant tous ceux qui n’ont rien  faire « chez nous » ».

Le maire a interpellé les autorités compétentes, le préfet et cela sans aucun résultat. Les voyous continuent à « se foutre » de la police et du maire.

Au cours des dernières semaines les désordres s’accentuent et les trois derniers incendies ont fini par terroriser les habitants des 72 logements, répartis sur les douze étages de la tour infernale.

Le dernier, vendredi, a mobilisé tous les services de secours et de pompiers de la commune.

A ce jour il n’y a eu à déplorer que des dégâts matériels, mais le risque d’avoir à déplorer des blessés, vois des morts, et vraiment trop élevé et le maire a estimé que cette situation ne pouvait plus perdurer.

Donc, puisque l’ordre ne peut être rétabli par ceux qui ont profession de le faire, qui sont rémunéré pour ce travail, comme cela devrait se passer dans un pays de droit, la maire d’Avion vient de prendre la décision d’évacuer purement et simplement la tour et de reloger tous les habitants, dont certains vivent là depuis des décennies et qui, l’on s’en doute, ne cachent pas leur colère, dans un autre quartier plus sûr, pour le moment !

Dans un délai de 30 jours tous iront vivre dans des logements mis à leur disposition par l’ensemble des bailleurs sociaux.

Le bailleur social de cette tour « Pas de Calais Habitat » a communiqué qu’il ne sera plus question de logement pour cet ensemble.

Mais que va-t-il se passer pour l’autre tour par exemple ? Egalement une évacuation tôt ou tard, suivie d’un relogement ?

Cette situation devient « ubuesque » : devant l’impossibilité pour les services de police et de gendarmerie de rétablir l’ordre et de mettre fin à cette délinquance qui gangrène nos cités, aux trafics de stupéfiants, la solution est donc de vider tous les ensembles HLM et de reloger les habitants ailleurs, où ils seront rejoints par la délinquance, c’est le monde à l’envers !

J’écrivais, la semaine dernière, que l’administration marchait sur la tête dans notre pays mais, hélas, pas que l’administration, la justice également, mais aussi la police et, bien entendu, le ministre de l’Intérieur et les préfets sous ses ordres, et cela n’est plus un sujet de plaisanterie mais devient un problème de sécurité publique dans notre pays où seuls les délinquants, les voyous, possèdent les armes et où les citoyens n’ont pas le droit de se défendre, seulement celui de fuir vers d’autres quartiers, d’autres villes, d’autres pays.

Car cela ne se passe pas uniquement dans le Nord mais sur tout le territoire de la République. Il n’y a plus de sécurité, il n’y a plus d’ordre, il n’y a plus de justice, il n’y a plus de police, il n’y a plus de tout cela mais uniquement contre la racaille, les voyous mais, e, revanche, contre le citoyen qui commet la moindre erreur, la moindre faute, la moindre infraction, alors c’est l’acharnement et même quelquefois la prison !

On ne sait toujours pas le nom complet de Bamba E., ce « Parisien » de 34 ans, qui a tué Farès, un jeune serveur d’origine tunisienne, âgé de 28 ans, qui avait mis trop de temps pour lui servir son sandwich.

Mais l’on sait qu’il s’agit d’une « petite frappe » locale, bien connu par les services de police pour trafic de stupéfiants et violences avec arme (déjà !).

Comme on ignore s’il s’agit d’un « Parisien » d’origine étrangère, donc binational, ou né sur notre sol et, hélas, Français, nous ne pouvons pas nous prononcer pour une expulsion (qui serait de toute façon plus que problématique, bien entendu !)  

  

 

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