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Tout récemment, ce dernier vendredi, 6 migrants, qui tentaient de s’échapper, comme des dizaines d’autres, d’un centre de rétention à Tripoli, en Libye, ont été abattus par les gardes libyens.

Dans ce centre de rétention sont entassés depuis des semaines plus de 5000 migrants clandestins, en grande majorité originaires d’Afrique subsaharienne, après un coup de filet des services de sécurité libyens.

Nombreux ont tenté la traversée vers l’Italie (Lampedusa), certains sont parvenus à destination mais d’autres ont disparu en mer Méditerranée.

Et cela ne cessera pas tant que les gouvernements européens ne prendront pas la seule décision qui permettra de mettre un terme à cette invasion inéluctable : la fermeture totale des frontières et l’accueil des seuls véritables « demandeurs d’asile ».

Andrej Babis, premier ministre de la République Tchèque, s’était prononcé sans équivoque au journal britannique « The Guardian ».

Il estimait que tous les migrants illégaux actuellement en Europe devaient être expulsés immédiatement :

« Ils doivent être renvoyés chez eux. Les trafiquants et les ONG chargés de remplir l’Europe d’immigrants clandestins ont réalisé un bénéfice de 5700 millions d’euros et il faut y mettre une fin.

Les dix milliards investis dans « Frontex » devraient l’être plus efficacement dans les pays africains pour empêcher les migrants de venir en Europe.

Il existe des différences culturelles entre européens et immigrants et nous ne pouvons pas permettre aux migrants de venir en Europe et changer nos traditions. Ils ont leur culture et nous avons la nôtre. Nous devons absolument préserver nos valeurs ! »

Fondateur de l’Alliance des citoyens mécontents, le premier ministre tchèque était soutenu par tous les membres du groupe de Višegrad, la Pologne, la Hongrie, la Slovaquie, l’Autriche et, à l’époaue,, l’Italie de Matteo Salvini.

Ne cherchez pas, la France n’y est pas, ni la Belgique, mais d’autres pays, comme par exemple l’Espagne, après un changement de gouvernement, pourrait les rejoindre si elle continue à être confrontée à des dizaines d’agressions quotidiennes, dès qu’elle se sera débarrassée des socialistes de Pedro Sanchez, provisoirement au pouvoir !

Le général Gomart, patron du renseignement militaire, qui a quitté l’armée en mai 2017, avait expliqué : 
« Cette invasion de l’Europe par les migrants est programmée, contrôlée et acceptée.
Rien du trafic migratoire en Méditerranée n’est ignoré des autorités françaises, militaires et civiles ». 

Le général de corps d’armée (quatre étoiles) Christophe Gomart, patron de la DRM (Direction du renseignement militaire) était chargé de recueillir toutes les informations susceptibles d’aider la France à prendre ses décisions d’ordre militaire.
Le général a expliqué, en ouverture du colloque GEOINT (Géospatial Intelligence), qui s’est tenu à la Société de Géographie, à  Paris, les 11 et 12 septembre 2018, comment le trafic migratoire au Moyen-Orient et en Méditerranée n’échappe pas au Renseignement Français.
La Direction du Renseignement Militaire, qui est leader en France sur le renseignement d’origine imagerie (ROIM) fourni par les satellites-espions militaires, a inauguré le 19 janvier dernier un très discret centre d’expertise, le CRGI (Centre de Renseignement  Géospatial  Interarmées).
Pluridisciplinaire, il intègre une trentaine de spécialistes civils, militaires et réservistes de haut niveau dont la principale fonction consiste à fusionner le renseignement recueilli par la DRM à partir d’une multitude de capteurs (interceptions, satellites, sources ouvertes, cybersurveillance, etc.).
C’est ainsi que la DRM peut aujourd’hui présenter au gouvernement français une situation précise de la présence des migrants subsahariens en Libye, ainsi que les identités exactes, les modes opératoires et les stratégies des « passeurs » de migrants.

Ces informations sont transmises par la France à l’état-major de la mission européenne en Méditerranée ( Eunavfor Med) lancée en mai dernier.
Le général Gomart a déclaré, lors du colloque, que les militaires français avaient repéré les principaux points d’entrée des filières de trafic humain sur le territoire libyen, notamment à partir de la zone des trois frontières (Libye, Soudan, Égypte). 
Le renseignement français sait où les passeurs échangent leurs cargaisons humaines, où ils les hébergent. 
Il les voit également préparer les départs vers l’Europe depuis les plages de Tripolitaine et de Cyrénaïque, imposant aux migrants un processus immuable. 
Avant tout départ en mer les passeurs appelaient le Centre de Coordination Italien des Secours Maritimes, et c’est ainsi que les bateaux européens allaient recueillir directement en mer les masses migratoires, pour les transporter à bon port, de crainte qu’ils ne s’égarent sur les côtes africaines…
Le GEOINT est devenu « l’outil idéal pour valoriser des données massives géo localisées. Il joue le rôle d’un accélérateur de prises de décisions en donnant une vision claire et complète aux chefs militaires et aux décideurs politiques ».
Il n’y a donc aucun mystère, tout se sait. L’invasion n’est pas une programmation qui avance au hasard.
On sait où les « passeurs » vont s’approvisionner en bateaux.

On sait que la Turquie délivre de faux passeports et que les autorités de réception ferment les yeux.

Le Renseignement français est capable de voir le trafic migratoire en Afrique jusque dans ses détails, et il pourrait le voir également en Europe ?

Mais peut-être regarde-t-il, sur ordre, dans d’autres directions !

(Source : Médias-Presse-Infos)

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