
On ne vous dit pas tout !
Les plans de plusieurs prisons françaises étaient disponibles, il y encore une dizaine de jours, pour tous les intéressés sur un site Internet (Agence publique pour l’immobilier de la justice) appartenant au Ministère de la justice, notamment les plans de la prison de Moulins-Yzeure (Allier) et celle de Villefranche-sur-Saône (Rhône).
La Garde des « Sots », Nicole Belloubet, a confirmé cette information, précisant toutefois que sur ces plans n’apparaissaient pas les installations des mesures de sécurité (Ouf ! On a eu chaud, on pensait qu’elles apparaissaient !). Elle a tout de même reconnu que cela paraissait impossible et que c’est pour cela qu’elle s’en est aperçue et donné l’ordre de les retirer.
La ministre de la Justice ajoute que « cela manquait de rigueur, surtout après avoir demandé à « Google Maps » de « flouter » les vues aériennes des prisons françaises ».
Comment peut-on imaginer, qu’avant cette demande toute récente de la ministre de la Justice, les prisons françaises pouvaient être visitées facilement, et depuis des années, par tous ceux qui pouvaient être tout particulièrement intéressés, pour les raisons que l’on sait !
Paris (75) – Dans la nuit de mardi à mercredi 24 octobre, Boulevard Mortier, dans le XXe arrondissement, un affrontement très violent s’est produit entre une trentaine de jeunes appartenant à deux bandes rivales, celle du 19e contre celle du 20e.
Un adolescent a trouvé la mort, poignardé. Grièvement blessé à la cuisse, il a succombé à ses blessures deux heures plus tard, après son entrée à l’hôpital.
Ces affrontements seraient risibles s’ils n’étaient pas si dramatiques : Ils se tuent pourquoi ?
La Brigade Anti-Criminalité a appréhendé trois jeunes voyous. L’un d’eux était en possession d’un couteau et un second portait un blouson ensanglanté.
Sur les lieux de l’affrontement mortel ont été retrouvés des barres de fer, des battes de base-ball, des couteaux et des bombes lacrymogènes.
Toujours à Paris, mais à proximité de la place Stalingrad, dans le 19e arrondissement, ce dernier mardi, en fin de soirée, une bagarre a éclaté entre 4 ou 5 individus, en plein milieu de la passerelle qui enjambe l’écluse du bassin de la Villette.
L’un des protagonistes a été aspergé d’un produit inflammable auquel le feu a été allumé.
Ses vêtements en flammes, il a enjambé la passerelle et s’est jeté dans le canal.
L’homme a coulé à pic et n’a pu être repêché que plusieurs minutes plus tard.
En arrêt cardio-respiratoire il a été dirigé vers l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière où il est mort.
Démuni de toutes pièces d’identité il n’a pu être identifié.
Les CRS alertés par des témoins, dans ce secteur gangrené par les trafics de stupéfiants et les migrants illégaux, ont appréhendé et placé en garde à vue l’un des criminels, un SDF de 46 ans très bien connu des services de police pour des faits de violences et de trafic de drogue, empêché de prendre la fuite, comme les autres, par quelques témoins courageux.
Grigny (Essonne) – Samedi soir, vers 21 h, square Surcouf, dans le quartier de Grigny2, ces hurlements émanant du 7e étage de l’un des immeubles ont alerté les voisins : un individu tentait de jeter sa femme par le balcon.
Elle se débattait avec vigueur et fort heureusement les pompiers et les policiers intervenants très rapidement ont réussi à la sauver.
Agé d’une trentaine d’années, l’individu a été appréhendé et placé en garde à vue.
Chevilly-Larue (Val de Marne) – Lundi, en début de soirée, un policier hors service, il était en congé, appartenant à la BAC du 9.3, qui se promenait avec sa compagne sur le Boulevard Jean-Mermoz, a été agressé, pour un simple regard échangé, par deux individus qui circulaient à bord d’une dépanneuse.
Ces deux individus, âgés d’une vingtaine d’années, sont descendus armés de tournevis dans le but d’en découdre.
Le policier a tenté de calmer la situation en présentant sa carte professionnelle mais cela n’a pas empêché les deux agresseurs de la frapper à coups de poings.
Le policier a répliqué comme il a pu, essayant surtout d’éviter les coups de tournevis.
La police de l’Hay-les-Roses a pu interpeller les deux voyous, qui ont été placé en garde à vue.
Villeneuve-d’Ascq (Nord) – Mercredi 24 octobre, il était environ 4 h 50, rue du 8 mai 1945, lorsque, en pleine voie publique, une femme a été violemment passée à tabac par 4 individus qui se sont acharnés sur elle.
Un riverain a alerté la police qui a pu transporter la victime grièvement blessé, plaies au niveau du crâne, de la bouche, du nez et d’un œil, vers le Centre hospitalier de Lille.
Son pronostic vital n’est pas engagé mais elle n’a pas été en mesure, pour le moment, de révéler son identité, ni son âge.
Trois mineurs, de 15,16 et 17 ans ont été arrêtés et placés en garde à vue.
Toulouse (Haute Garonne) – Samedi soir, quartier les Izards, un jeune toulousain, âgé de 20 ans, s’est jeté du quatrième étage d’un immeuble situé impasse Urbain Vitry, où il venait de retrouver une jeune fille, prénommée Eva.
Il avait fait sa connaissance sur un site de rencontre et cela paraissait bien se présenter mais, alors que le rapprochement devenait plus intime, il s’était aperçu, avec la stupeur que l’on peut imaginer, qu’il tenait dans sa main des « attributs » masculins.
Comprenant, mais un peu tard, que sa jolie Eva, âgée de 21 ans et habillée en femme, était un homme, il s’est affolé et pris la fuite…par le balcon, au quatrième étage.
Fort heureusement, la pelouse a amorti une chute qui aurait pu être mortelle.
La police est intervenue et le jeune prétendant a été dirigé vers le CHU Purpan pour soigner quelques blessures pas trop graves à un poignet et au bassin.
Une aventure et, surtout, une issue, dont il gardera bien longtemps le souvenir.
Rouen (Seine Maritime) – Lundi vers 17 h 20, rue de Lessard, à deux pas de la clinique Mathilde, une jeune femme a été poignardée à coups de tournevis par son ex compagnon.
Transportée gravement blessée vers l’hôpital le plus proche, ses jours ne sont pas en danger.
Interpellé par Police Secours l’agresseur a été placé en garde à vue.
On n’en sait pas davantage pour le moment !
**En ce qui concerne tous ces faits divers, nous ignorons, bien entendu, les identités et les origines des délinquants !