Selon une toute récente étude de l’INED (Institut National d’Etudes Démographiques), les enfants d’immigrés Nord-Africains (Tunisie-Algérie-Maroc), soit la deuxième génération née en France, représentent 11% de la population française, 7,3 millions.
Ils vivent généralement en banlieue et ont un comportement nocif, avec prises importantes de risques car ils sont surexposés au chômage et aux discriminations : drogue, alcool, accidents de la route, etc.
Ce qui implique qu’ils vivent moins longtemps que ne vivaient leurs parents, à cause d’une surmortalité plus élevés.
Grandir dans de tels quartiers limite les opportunités, retard en matière d’éducation, discrimination à l’embauche, sous payés, etc.
Et tous ces facteurs expliqueraient leurs comportements agressifs, leurs révoltes, les rixes, les casseurs, les agressions contre la police, les pompiers et tout ce qui représente l’identité et les valeurs républicaines françaises.
En grande majorité ils ne s’intègrent pas car ils ne veulent pas s’intégrer : ils veulent s’opposer, provoquer et imposer leurs moeurs et coutumes, leurs lois. Faire peur !
Ceux qui parviennent à s’extraire de cette majorité réussissent parfaitement à intégrer la société française, et y trouvent leur place.
Ce qui est bien plus grave, c’est qu’à ces plus de sept millions de descendants d’immigrés sont venus s’ajouter quelques dizaines de milliers de demandeurs d’asile et plusieurs centaines de milliers de migrants clandestins et c’est ce surplus qui cause problème et explique la montée des populismes en Europe et dans le monde.
Cette rapport tombait à point car c’était justement le sujet que souhaitait analyser le débat organisé par le MEDEF et qui mieux que Marion Maréchal pouvait y apporter sa contribution ?
C’est cette progression constante du populisme qu’aurait pu parfaitement expliquer Marion Maréchal, invitée par le MEDEF, non pas en tant qu’ancienne députée Front National ni en tant qu’adhérente du RN, mais comme directrice générale de l’ISSEP (Institut des Sciences Sociales Economiques et Politiques), notamment sur un sujet qu’elle maîtrise parfaitement et certainement mieux que tous les autres intervenants, s’il en reste ?
J’aurai cru le patron du MEDEF, Geoffroy Roux de Bézieux, suffisamment courageux pour ne pas se « dégonflé » comme une baudruche devant les revendications de quelques représentants du LREM ou de la France insoumise dont les élucubrations n’auraient certainement pas fait avancer le débat, et, surtout, de ne pas s’incliner devant le diktat « twitter » de l’ancienne patronne du MEDEF, Laurence Parisot, et son appréciation ridicule concernant, d’après elle, une invitation d’une représentante de l’extrême droite. Elle aurait dû se souvenir des quelques fois où elle a fait appel justement à cette extrême droite afin de consolider son fauteuil, souvent en péril, quand elle était attaquée sur sa gauche !
La confrontation explosive qui oppose actuellement le ministre de l’Intérieur Mattéo Salvini, et le gouvernement italien, aux responsables d’un navire ONG, le « Sea Watch 3», sa capitaine allemande, Carola Rachete, et son financier américain, Georges Soros est l’illustration parfaite qui explique justement l’origine de cette « montée » de ce que l’on appelle le « populisme » mais qui, en réalité, n’est que la protection de sa propre identité et de sa souveraineté par ceux qui ont été élus pour s’en charger, et qui sont soutenus par une très large majorité des citoyens, et qui refuse de céder à des provocations car, si effectivement, ces migrants sont réellement en danger, il suffirait de les diriger vers le point de départ : retour à l’envoyeur en quelque sorte !
