France 3 prise la main dans le sac, en flagrant délit de contre information, au sujet de l’incendie criminel de l’église Saint-Jacques à Grenoble.
Le 19 avril 2019, par l’un des journalistes de sa rédaction régionale, France 3 affirmait que, contrairement aux « Fake news » diffusaient sur les réseaux sociaux par l’extrême droite, il ne s’agissait nullement d’un incendie criminel et elle accusait l’extrême droite d’attiser la haine sans preuve de ce qui était avancé.
C’est tout juste d’ailleurs si France 3 n’indiquait pas l’extrême droite comme l’instigatrice de cet incendie.
Or, l’enquête menée, dont les résultats viennent d’être diffusés, apporte la preuve qu’il s’agissait bien d’un incendie criminel, dont les auteurs sont, probablement, les mêmes que ceux qui ont incendié tout récemment la mairie de Grenoble.
France 3 tente de noyer le poisson, affirmant que la rédaction a « dépublié » les conclusions hasardeuses uniquement pour une manière (plutôt une manœuvre, non !) conservatoire, et non pas parce qu’il s’agissait d’une fausse information.
Que les habitants du Dauphiné en prennent bonne note.
*Amalgame, surtout ne pas faire d’amalgame, c’est le mot d’ordre à la mode.
Comment voulez-vous que certains « patriotes » ne fassent pas d’amalgame alors qu’un imam bien intentionné, Hassen Chalghoumi, (ils sont rares mais apparemment il en existe au moins un !) organise une manifestation citoyenne des musulmans, place Saint-Michel, à Paris, en soutien aux victimes et aux familles des policiers assassinés à la préfecture de police, frappées par le terrorisme islamiste, et qu’il se trouve devant l’obligation de constater le « flop » de sa bonne intention par la présence de seulement quelques dizaines de musulmans, alors que, quand il s’agit de soutenir une victime de la police, ce sont des milliers qui se réunissent dans les rues de nos provinces et de la capitale.
On espérait une réaction vigoureuse du CCIF et l’UOIF mais, comme sœur Anne, nous n’avons rien aperçu à l’horizon. Après tout il ne s’agissait que d’un « nouveau » musulman d’origine antillaise, récemment converti et un peu « Fou d’Allah » !
En revanche on a pu lire quelques appréciations, agréables pour notre pays, prononcées par ces citoyens de nationalité française qui forment « La Ligue de défense Noire Africaine ». Pourquoi ne sont-ils pas, alors qu’ils sont si vigoureux, courageux et talentueux, chez eux, en Afrique, pour défendre « leurs frères », massacrés par les terroristes, également « leurs frères » !
Surtout pas d’amalgame, c’est bien ce que tente de nous démontrer le mouvement « La révolution est en marche nationale » (Rien que ce titre devrait lui valoir une interdiction judiciaire), avec sa déclaration du 10 octobre où est déploré le « lynchage médiatique », selon eux, sur les phrases de son leader Hadama Traoré, qui « auraient été mal comprises et mal relayées ».

Contrairement à ce qui a été compris, par ces Français qui décidément ne comprennent rien au langage subtil de « notre diversité » et de « sa nouvelle culture », les paroles de Hadama Traoré rendaient « un vibrant hommage aux policiers assassinés tout en dénonçant la désinformation médiatique et politique ».
Ils sont heurtés et scandalisés par l’acharnement médiatique dont a été victime Hadama, sous la pression, bien entendu, de l’extrême droite, qui a fait croire aux « républicains » français que la manifestation qu’il organisait ce dernier jeudi, ne l’était pas contre les paroles d’Emmanuel Macron, mais contre l’interprétation qu’une majorité de Français s’était permis de comprendre.
Il me semble bien pourtant que c’est Hadama Traoré qui, le premier, a choisi les médias pour développer sa théorie et faire sa publicité en vue de quelques projets futurs ?
*Je ne peux pas terminer ce sujet d’actualité sans, hélas, m’arrêter sur le drame qui a frappé, mercredi soir, un jeune étudiant, Emmanuel, 16 ans, en internat, au lycée des métiers Alexandre-Denis, à Cerny, dans l’Essonne.
Il a été poignardé à deux reprises, touché au flanc et un poumon perforé, la lame étant passée à un demi-centimètre du cœur, par deux individus extérieurs au lycée.
Ils ont pénétré dans la cour de récréation, se sont approchés de lui et lui ont demandé : « Est-ce que tu t’appelles « X ». Non, leur a-t-il répondu, je ne suis pas « X ». Ils l’ont tout de même poignardé, qu’il soit X ou non.
Opéré, son état est stable. « Votre fils est un miraculé, il aurait pu mourir » a déclaré le docteur à Sophie, la mère d’Emmanuel.
Même en internat, à l’intérieur d’un lycée, on peut être assassiné de nos jours !