Les fausses nouvelles « Fake news » sont en très nette augmentation sur les réseaux sociaux, notamment sur Facebook et Twitter, mais également à l’aide de WhatsApp, Instagram ou YouTube.
Actuellement 70 pays sont particulièrement concernés à travers le monde. Un chiffre en progression puisqu’ils n’étaient que 48 en 2018 et 28 en 2017.
Ces chiffres analysés par l’Institut Internet de l’Université d’Oxford.
La désinformation est devenue un instrument privilégié des partis politiques et des gouvernements.
Ils utilisent les réseaux sociaux pour diffuser leur propagande, entraver les libertés d’expression et la liberté de la presse et polluer la véritable information.
Dans 26 pays ce sont même des régimes autoritaires, pour ne pas dire dictatoriaux, qui utilisent ces « Fake news » comme outil de propagande et de fausses informations destinées à manipuler la population et discréditer les opposants politiques ou idéologiques.
Ce rapport indique comme principaux utilisateurs de ces « Fake news » des pays comme la Chine, la Russie, l’Inde, l’Iran, l’Arabie Saoudite, le Pakistan et le Venezuela.
Facebook restant l’outil le plus privilégié.D’autres pays très utilisateurs sont également le Royaume Uni, l’Allemagne, l’Espagne, l’Italie, la Suède et, bien entendu, les Etats-Unis.

Pour le moment la France n’a pas encore utilisé assidûment ce procédé, bien que nous en ayons eu un exemple très récent avec la désinformation de France 3 au sujet de l’incendie criminel de l’église Saint-Jacques à Grenoble.
Autre phénomène ennuyeux, qui participe également à la manipulation des informations, ce sont les équipes de « modérateurs », employées par Facebook (par exemple, des marocains installés au Maroc, qui décident, selon leur idéologie, et les ordres reçus, ce qui doit être « épinglé » ou non parmi les messages diffusés notamment en France).
Sur un tout autre sujet, mais également proche de la désinformation, il est inacceptable que des entreprises commerciales tentent d’influencer l’opinion publique, à travers les différents médias (Télévision, radios, presse, magazine, etc.) en menaçant de supprimer leur publicité si telle émission, ou tel personnage, ne convient pas à l’image qu’ils se font de leur clientèle et tentant, par leur financement, d’influencer sur les débats d’actualité et sur les personnalités qui y participent, s’octroyant ainsi un droit de censure.
Une entreprise, quelque soit son importance, n’a nullement le droit de tenter d’influencer l’opinion publique d’un pays.
Cette intrusion qui, une fois de plus, vient de se manifester sur le cas particulier concernant Eric Zemmour, et sa participation à des chaînes télévisées comme « Paris première », « RTL » ou « Cnews », devrait entraîner ipso-facto le « boycott » des toutes les marques incriminées, par les citoyens qui apprécient la liberté d’expression et la liberté de la presse et l’on ne peut qu’espérer que les rédactions de tous nos médias ne se laisseront pas imposer une telle censure « financière », ni le « diktat » d’intérêts apparemment commerciaux mais peut-être avec une arrière pensée teintée d’idéologie !
Quant aux députés du parti « La République En Marche » qui n’accepteront plus les « invitations », qu’ils sont les premiers à quémander, des chaines télé et des radios accueillant Eric Zemmour, ils ne peuvent pas savoir à quel point nous seront apaisés de ne plus entendre les « nullités » qu’ils débitent à longueur d’émissions, dans des débats où ils ne sont ni à leur place, ni à la hauteur des échanges, par leurs banalités consternantes !