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Les manipulateurs de l’histoire, Pascal Blanchard, Alain Ruscio et Benjamin Stora, se déchainent. Désormais, selon eux, « la colonisation fut un grand safari sexuel ».

Vous avez bien lu, c’est nouveau.

Pour Pascal Blanchard « la colonisation n’exploitait pas les peuples, elle exploitait avant tout les corps ».

Pour lui, « la nudité » faisait partie du marketing de l’expédition coloniale et façonnait l’identité même des femmes indigènes.

Les occidentaux partaient dans les colonies avec le sentiment que « tout leur était permis et que, là-bas, il n’y avait pas d’interdit. Que tous les verrous sociaux sautaient : abus, viols, pédophilie, etc. »

Donc, si vous l’ignoriez, à présent vous le savez : les colons partaient uniquement dans le but de « forniquer, de violer, femmes et enfants. »

Pour la pseudo historienne, Christelle Taraud : « La grande question de la colonisation, ce n’était pas la conquête des territoires mais le partage des femmes » et elle précise même (que c’est beau le savoir !) que « une semaine après la conquête d’Alger, la France avait réglementé la prostitution pour mettre en place « un marché du sexe ».

Vous avez bien lu : pendant que les soldats français s’entretuaient avec les tribus d’Abd-el-Kader dans toute l’Algérie, le gouvernement ouvrait des « bordels » dès les premiers jours de la conquête !

Même le président, Emmanuel Macron, quand il a lancé « les crimes contre l’humanité commis par la colonisation » n’a certainement pas imaginé une « colonisation » de ce genre !

Ainsi, si vous souhaitez approfondir vos connaissances sur « la véritable histoire des colonies et de la colonisation », alors rapprochez-vous de ces pseudos historiens que sont Pascal Blanchard, Alain Ruscio, Benjamin Stora, et des quelques satellites qui les environnent afin de tenter d’émerger de l’ombre !

Pour ceux que je me refuse de nommer « historiens », seulement ce qu’ils écrivent est vrai et « tout ce qu’affirment les autres n’est que fantaisie. « Seuls eux » détiennent « la vérité » et ont le droit de la diffuser, avec la totale complicité des médias télévisés, puisque « seuls eux, sont présents sur les plateaux.

Pour eux, le bilan positif de la France colonisatrice n’existe pas, ce n’est qu’un leurre. La France n’a rien bâti, n’a rien construit, tout n’est que mensonge. Tout ce que la droite, et l’extrême droite, vous raconte est contraire à la réalité, puisqu’ils vous le disent, vous l’écrivent.

L’état lamentable dans lequel se trouvent toutes les ex colonies françaises, et surtout l’Algérie, depuis la fin du colonialisme, n’est finalement, selon eux, que justement la conséquence de ce colonialisme, et non pas de sa disparition.

C’est surtout sur le sujet « Algérie » que les plus dures attaques fusent.

Il est vrai que les Blanchard, Ruscio, Stora, ont vécu l’Algérie, mais uniquement à travers leurs lectures, et quelles lectures ! Vous vous en doutez n’est-ce pas !

Pour eux, les « tenants » de la nostalgie coloniale de la France n’ont jamais posé les armes.

Savent-ils combien « peu nous chaut » la nostalgie coloniale de la France ?

Savent-ils combien nous serions heureux que « l’après colonialisme » ait rendu ces pays florissants et riches afin qu’ils conservent toute leur jeunesse et qu’elle ne vienne pas nous envahir, nous les « assassins ».

Nous, qui ne déposons pas nos armes, comme ils disent, sommes ceux qui ont vécu ce drame algérien, pas en lecture mais au prix du sang, des massacres et des assassinats.

Ces pseudos historiens poussent même l’outrecuidance jusqu’à affirmer » que les gouvernements qui se sont succédés ont laissé faire les « nostalgiques » qui ont occupé le devant de la scène mémorielle, et que, dans le même temps, la droite et l’extrême droite ont politisé ce passé à des fins electorialistes.

Pour ses pseudos historiens « ce sont nos auteurs, et depuis quelques années Eric Zemmour, qui proposent une nouvelle lecture de ce passé colonial, en lien avec la crise identitaire actuelle ».

C’est donc « nous » qui avons empêché l’Etat d’établir des réalités sur la colonisation. Ces réalités qui, selon eux, prouvent que tout ce qu’a réalisé la colonisation : les routes, les hôpitaux, les écoles, les voies de chemin de fer, l’ont été certes avec des capitaux français mais à l’aide d’une main d’œuvre indigène, que les administrateurs obligeaient à un travail forcé, et cela jusqu’en 1946 (Pourquoi pas jusqu’en 1962 !).

Pour Benjamin Stora « La survivance de la mémoire coloniale est toujours ancrée à l’extrême droite ».

N’ayant vraiment rien à nous apprendre sur les réalités de la colonisation (mis à part cette « nouveauté » : que nous colonisions dans le seul objectif de « forniquer » les africains nues, et les quelques crimes contre l’humanité, durant les 132 années passé en Algérie, ces pseudos historiens n’ont « pour seule pâture » que la critique de ces historiens qualifiés d’extrême droite (Ce qui est loin d’être une injure quand elle vient de l’extrême gauche !).

Leur slogan : « Comme nous ne savons rien, comme nous n’avons rien compris, critiquons ceux qui savent…il en restera toujours quelque chose dans les «mémoires» de notre pauvre jeunesse, qui, c’est notre crainte, aura des lendemains bien difficiles ! »

 

 

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