La prétention de certains journalistes de la télévision française de se croire supérieurs intellectuellement aux personnages politiques qu’ils interviewent, notamment à Marion Maréchal, Sarah Knafo et même, pourquoi pas, Manon Aubry, leur attire quelques désagréments et des réponses (à des questions hors sujet) qui les laissent « coi ».
Cela a été le cas d’un descendant de la famille Duhamel (face à Sarah Knafo) et, tout récemment, d’une Sonia Devillers face à Marion Maréchal. Selon elle, « la famille française » n’aurait été la cellule de base de la France « que sous le maréchal Pétain » !
Nous allons nous permettre de lui remplir une case qui, apparemment, était vide : la famille française (un père, une mère, des enfants) a été la cellule de base de la France « depuis que la France est France », c’est-à-dire depuis Clovis, puis tout au long du Moyen Âge, de la Renaissance, sous les Rois de France, sous la République naissante et jusqu’à nos jours.
Comme pour Sonia Devillers « affirmer que la famille française soit la cellule de la France » serait « fasciste », qu’un homme et une femme soient nécessaire pour donner naissance à un enfant « serait fasciste », donc que, toujours selon elle, « la Nature serait fasciste » !
Fasciste ou pas, jusqu’à présent cela a toujours été le cas : un spermatozoïde et un utérus doivent se rencontrer pour la création d’un bébé.
Il est fort probable que dans un siècle, par exemple, cela ne soit plus nécessaire. Qu’un « spermatozoïde artificiel » soit introduit dans le coffre d’un robot femelle (ou mâle, peu importe) et que quelques jours (ou semaines) plus tard « tombe » dans la bassine un « bébé totalement asexué », sans pénis ni vagin, puisque ces « instruments » ne seront plus nécessaires « pour procréer humainement » et doter d’un QI d’un minimum de 175 (grâce à la puce IA implantée dans son cerveau – s’il en possède un car l’on peut même se poser la question de savoir « si le cerveau sera encore nécessaire »).
Je pourrai poursuivre très longtemps dans ce délire mais une chose est certaine : ces « machines », qui remplaceront les journalistes dans ce futur, ne poseront certainement pas des « questions aussi idiotes ».