
En Allemagne, la presse et les médias sont « muselés » par ordre du gouvernement. Ils n’ont pas le droit de signaler les crimes commis par les « migrants ». Cette consigne, cette censure, a été confirmée par un haut responsable de la police de Francfort dans une interview accordée au quotidien Bild.
André Schulz affirmait que 90% au moins des crimes sexuels commis en Allemagne sont « effacés » des statistiques officielles.
Devant le laxisme judiciaire l’épidémie de viols commis par les « migrants » se poursuit sans relâche.
Les individus arrêtés pour crimes sexuels sont libérés après un simple interrogatoire ou les peines appliquées sont si légères que les suspects peuvent récidiver en toute impunité.
Plus d’une douzaine de viols et d’agressions sexuelles sont commis chaque jour. Ce sont les statistiques provisoires pour 2023.
Quatre fois plus qu’en 2014, date à laquelle Angela Merkel a ouvert son pays à plus d’un million de migrants, musulmans en grande majorité, et en provenance d’Afrique et du Moyen-Orient.
Un rapport trimestriel, publié par l’Office fédéral de la police criminelle, intitulé « Criminalité en contexte migratoire », révèle que les « migrants » ont commis 3466 délits sexuels au cours des NEUF premiers mois de 2017, soit 13 par jour environ. Contre 3404 pour toute l’année 2016 (9 par jour), 1683 en 2015 (5 par jour), 949 en 2014 (3 par jour) et 599 en 2013 (2 par jour).
Selon ce même Office fédéral la criminalité serait en progression constante depuis 2018.
Seulement un délit sur deux, commis en Allemagne, est considéré comme résolu par la police et 90% de ces délits sexuels ne sont pas répertoriés.
Dans ces statistiques officielles, toute référence aux « migrants » est interdite. Il n’est questions que d’hommes « à peau foncée » ou de « Méridionaux ». Cela dans l’objectif de dissocier les criminels de l’islam et de ne pas affoler les citoyens.
« Consigne stricte a été donnée de ne pas signaler les crimes commis par les réfugiés. Il ne faut répondre aux médias que s’ils posent des questions précises. » Déclaration faite à Bild par un haut responsable de la police.
De très nombreux délits ne sont pas signalés, ou sont minimisés, afin de ne pas alimenter les sentiments anti-immigration de la population.
De très nombreux viols et agressions sexuelles se produisent dans les transports en commun (gares routières et ferroviaires). A Berlin seulement, la police a enregistré 326 agressions sexuelles uniquement dans les autobus et les trains. Deux fois plus qu’en 2016 !
Au cours du premier trimestre 2022, les auteurs, quelquefois en bande, de 76 viols et agressions sexuelles ont été arrêtés par les polices de la plupart des villes allemandes. Il serait trop long d’en publier la liste et les circonstances.
Comme il est exclu que le ministère de l’Intérieur français fournisse les statistiques des viols et agressions sexuelles commis dans notre pays en 2023 et ceux des précédentes années, nous espérons qu’un haut fonctionnaire de notre police nationale prenne la décision, à l’exemple de ce haut fonctionnaire allemand, de nous communiquer les chiffres exacts afin de les porter à la connaissance de nos concitoyens.
L’Allemagne a peur et ce n’est pas la toute récente attaque meurtrière qui s’est déroulée à Solingen qui ramènera la sérénité. La Belgique a peur, l’Angleterre a peur, l’Espagne, après les récentes actions criminelles de ces dernières semaines et les nombreuses « Patéras » qui débarquent des dizaines de migrants illégaux jusque sur les plages de San Juan d’Alicante ces derniers jours, commence à avoir peur également…
Manuel Gomez pour Dreuz.info.