Les absurdités du droit d’asile

Comment peut-on comprendre ces décisions totalement absurdes concernant certaines immigrations « autorisées » notamment par le « droit d’asile ».
Je suis absolument favorable aux demandes d’asiles des femmes afghanes qui expriment le désir, et combien je les comprends, de fuir leur pays. Elles sont certainement 20 millions à le souhaiter afin de se soustraire à la situation dramatique dans laquelle elles vivent. Mais il ne faut surtout pas que cet accueil inconditionnel soit élargi aux hommes afghans, tenant compte notamment du « regroupement familial » invoqué et en vigueur depuis, hélas, quelques décennies.
Les femmes afghanes sont devenues un « groupe social » qui mérite d’être protégé en tant que « réfugié ».
Pourquoi ? Selon la direction de l’Observatoire de l’Immigration et de la Démographie, les demandeurs d’asile afghans se sont multipliés par 28 en 10 ans et c’est le cas notamment pour la France.
Nous subissons une hausse spectaculaire du nombre de demandeurs d’asile Afghans. En 2014 « Ils » étaient moins de 700 sur notre sol et « Ils » sont près de 20.000 en 2023 et, parmi ces 20.000, 61 % sont des mineurs non-accompagnés et 80 % sont des hommes. (Ils seraient entre 50 et 100.000 en Europe en 2024, d’un niveau scolaire très bas et peu formés.)
Enfin, selon le « Pew Research Center », 99 % des hommes afghans, sondés directement en Afghanistan, sont favorables à la charia, en tant que loi officielle et 85 % favorables à la peine lapidation en cas d’adultère (de la femme, évidemment).
Il y a donc une incompatibilité totale entre l’accueil de ces femmes afghanes qui fuient justement afin d’échapper à la charia et au sort qu’elles subissent dans leur pays (interdiction même de s’instruire) et l’accueil de dizaines de milliers d’hommes susceptibles de les récupérer et de leur appliquer cette même charia sur notre sol.
J’espère que c’est également votre avis ?
Il s’agit, dans cet article, des femmes afghanes mais mes réflexions peuvent également s’appliquer aux femmes de tous ces pays musulmans, et plus principalement l’Iran, l’Algérie et quelques autres, qui se réfugient (très peu nombreuses d’ailleurs) en Europe afin d’échapper au triste sort qu’elles subissent et sont reprises en main sur notre sol et cela devant le désintéressement totale des toutes ces féministes de pacotille que l’on n’entend guère sur des sujets aussi vitaux pour leurs sœurs.
Il est vrai que leur silence a été total sur les viols et les meurtres commis par le Hamas le 7 octobre et dans bien d’autres circonstances, par exemple le sort des malheureuses femmes iraniennes. En revanche « Elles » deviennent redoutables lorsqu’un metteur en scène ou un réalisateur ose poser les mains sur les fesses d’une starlette. C’est particulièrement grave pour nos féministes, pas le reste.