Des femmes se battent pour leur liberté et les pseudo-féministes les ignorent.

Des femmes se battent pour leur liberté et les pseudo-féministes les ignorent.

Les réseaux sociaux nous ont permis d’assister à ce spectacle non seulement émouvant, mais surtout révélateur, des conditions de vie abominables que subissent les femmes dans certains pays de notre monde et cela depuis des siècles et, hélas, toujours à notre époque.

Quelle sera la destinée de cette très courageuse jeune femme, frappée et jetée dans un asile psychiatrique qui, pour elle, ne sera que la porte d’entrée dans un « Enfer » où elle disparaîtra à tout jamais.

Toutes les nations du monde civilisé, c’est-à-dire tous les pays qui affirme hautement l’égalité totale entre une femme et un homme, devraient se rassembler pour « frapper » financièrement, économiquement et même davantage, si cela s’avérait nécessaire, ces quelques pays qui soumettent, maltraitent et même assassinent les malheureuses femmes qui ont eu la malchance d’y naître.

Par exemple l’Afghanistan où les femmes n’ont même plus le droit de « s’exprimer » après avoir perdu le droit de se « montrer ».

Par exemple l’Iran où les gardiens de la révolution, sous les ordres des ayatollahs, maltraitent, frappent, lapident et souvent assassinent, ces malheureuses femmes qui ont le courage d’ôter non seulement les voiles qui les masquent mais même de ne pas les revêtirent correctement, selon eux.

Par exemple d’autres pays du Moyen-Orient et certaines nations africaines sous emprise islamiste.

Dans tous ces pays la femme, surtout si elle est jeune, n’est que de la chair offerte en pâture aux mâles dominants.

Et il devrait être surtout « interdit » d’accueillir « dans nos pays » civilisés, les mâles dominants « de ces pays » car ils y poursuivent l’asservissement de la femme « quel que soit son origine ».

Nous aimerions assister à un soulèvement général, à des manifestations déferlantes, de toutes ces « féministes » de nos nations civilisées qui assistent, assises douillettement sur leurs divans, aux destins abominables de millions de femmes muettes, invisibles, persécutées, lapidées et trop souvent assassinées.

Ce n’est pas de la colère mais un sentiment. ’indignation que j’éprouve pour ces « femmes occidentales » qui « l’ouvrent » quand elles devraient se taire mais qui « se taisent » quand elles devraient « l’ouvrir » !