
Je me souviens de cette déclaration d’un responsable vietnamien, fuyant le régime communiste et débarquant à l’aéroport de Roissy en 1979 avec tout un groupe de ses compatriotes : « Jamais nous n’aurons de mots assez forts pour remercier la France de nous accueillir. Mais que les Français se rassurent, nous allons travailler dur et nous ne serons pas à leur charge très longtemps ».
Et ils ont tenu parole.
Quelques années plus tard, tous ces Asiatiques parlaient français et se retrouvaient souvent en tête des classements scolaires.
Ce fut un cas identique pour les 50.000 premiers Indochinois qui arrivèrent en France dans les années 1950 et également des 250.000 Boat People vietnamiens qui fuyaient leur pays dans les années 1970.
Tous ont parfaitement réussi leur intégration et cela dès la deuxième génération : 27 % des descendants de parents asiatiques occupent des postes de cadre, contre 9 % pour les enfants d’origine maghrébine et 5 % d’origine subsaharienne.
48 % des Français d’origine asiatique obtiennent un diplôme d’études supérieures.
N’en cherchez pas la raison ailleurs que dans le désir prioritaire de s’intégrer totalement à la culture et aux valeurs de notre République française.
Et c’est loin d’être le cas de tous les étrangers qui débarquent « chez nous ».
Il est vrai que, 75 ans plus tard, les Vietnamiens ont d’autres objectifs que de nous reprocher la guerre d’Indochine.
Ce qui est loin d’être le cas de l’Algérie, par exemple, qui ne cesse de nous accuser après soixante années de Liberté (paraît-il ?).
Ils éduquent les jeunes générations algériennes dans la haine de la France et des « colons ».
Plus de six décennies sont passées mais ils prétendent toujours que l’état actuel de leur pays « c’est la faute de la colonisation ». (Et ils sont aidés par des « porteurs de mensonges », dans tous les médias, comme ils l’ont été, à l’époque, par les Porteurs de valises).
Est-ce notre faute si les Algériens ont dilapidé l’héritage colonial qui faisait de leur pays le plus moderne du continent africain ?
Qu’ils s’en prennent aux incapables du FLN, au pouvoir depuis plus d’un demi-siècle, de tous ces corrompus qui ont détourné à leurs profits les richesses des rentes pétrolières et gazières que nous leur avons laissé en cadeau de départ.
Ils se sont enrichis au détriment d’un peuple qui leur faisait confiance et ils ont fait, pour leur pays, un choix économique et politique désastreux (ils ont fait de ce pays riche qu’il soit peuplé par des pauvres !).
En 132 ans, les Pieds-Noirs et la France avaient sorti ce pays du Moyen Âge et des marécages pestilentiels pour en faire l’un des plus modernes du bassin méditerranéen.
Ce que n’avaient ni tenté, ni réussi les « envahisseurs » arabes depuis le VIIe siècle et les « occupants » ottomans durant trois cent ans.
Comme on aimerait bien entendre ces mêmes paroles, prononcés par ce Vietnamien en 1979, chez les soi-disant élites de religion musulmane qui niquent la France, qui souhaitent gazer les Blancs, et chez les rappeurs et dans les banlieues où la haine et l’insulte sont quotidiennes contre la France, contre les Français, contre les Blancs, contre les flics, contre les églises, les cimetières, les chrétiens.
Si l’islamophobie progresse en France ce n’est pas de notre faute, mais de la leur.
Les Asiatiques ont été les bienvenus et ils ont apporté beaucoup à notre pays.
Les Asiatiques n’ont jamais essayé de nous imposer leur religion. Ils n’ont jamais réclamé davantage de temples et n’ont jamais occupé les rues pour prier.
Ils ne sont jamais allés combattre la France à l’étranger, n’ont jamais réalisé ou revendiqué des attentats, des émeutes, et ne se sont jamais regroupés en casseurs pour briser, voler, vandaliser, etc.
Ils n’ont jamais contesté l’école républicaine, ni agressé des enseignants, des médecins, des pompiers, ni tenté de brûler des flics dans leur voiture.
Algériens, vous venez en France de plus en plus nombreux pour fuir la misère de votre pays, alors faites comme les Asiatiques, servez-la, aidez-la.
Vous n’êtes pas obligés de l’aimer mais ne la combattez pas, ne l’insultez pas, ne la haïssez pas.