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Depuis des années, et surtout ces derniers mois, de très nombreux débats tournent autour de cette violence des jeunes dans de très nombreux quartiers de ce qui était notre Douce France.
 
Bien sûr il y avait ce sentiment d’insécurité, pour le ministre de la justice Dupond-Moretti, qui, pour nous, se traduit par des agressions très violentes, des vols à l’arraché, des coups de couteaux, des viols, des assassinats, et cela quotidiennement.
 
Sur les chaînes de télévision, dans les médias, les débats se succèdent, chacun se lamente et délivre son message : c’est la faute des parents, qui n’assument plus leur rôle comme avant ; c’est la faute de l’éducation, qui n’éduque plus comme avant ; c’est la faute à la police, qui ne fait plus peur comme avant ; cela va se poursuivre encore durant quelques années, jusqu’à l’instant où, par la faute d’on ne sait quoi, cela va éclater, car cela éclatera !
 
Ce n’est plus à qui incombe la faute qu’il faut rechercher, mais comment tenter d’y mettre fin, de trouver une solution, de réduire, autant que faire se peut, ces zones de non-droit, ces combats quotidiens et ces rodéos sauvages en pleine ville, parfois meurtriers.
Il faut sortir toute cette jeunesse des rues où elle est abandonnée et où elle s’affronte physiquement.
 
La police ne peut pas agir, elle n’en a ni la possibilité ni les ordres (et quand elle est devant l’obligation d’agir, en faisant usage de son arme par exemple, cela risque de se traduire par homicide volontaire, une honte). La justice n’agit pas, elle n’en a ni la volonté ni les moyens, les parents n’en parlons plus, ils sont dépassés par les événements. L’éducation ? De quelle éducation parlez-vous ? Quant à l’État, son gouvernement, ses ministres, ils ont d’autres chats à fouetter entre l’élection passée et la prochaine à préparer et les « Parole… parole… parole… ».
Il nous faut donc agir.
 
L’une des premières solutions est déjà de débarrasser le pays des mineurs isolés illégaux et clandestins, de les renvoyer à l’expéditeur, quels que soient les règlements européens et l’humanisme d’une autre époque, d’avant ! Et expulser les étrangers dès une première condamnation ferme.
Ensuite débarrasser les rues de nos villes et de nos villages de cette jeunesse abandonnée, sans éducation, sans travail, sans moyen, ou alors uniquement ceux fournis par le trafic de stupéfiants à ciel ouvert et toléré.
 
Avant 1997, cette solution existait et c’est Jacques Chirac qui avait pris la décision absurde de la supprimer : le service militaire obligatoire qui était le dispositif d’insertion sociale et professionnel le plus adapté à cette jeunesse, lui proposant formation professionnelle, sports, premiers secours, permis de conduire et, surtout, encadrement physique et militaire musclé.
N’oublions pas que, bien qu’en possession de l’arme nucléaire, tout Français est soldat et se doit à la défense de la patrie.
 
Est-il nécessaire de tant polémiquer sur ce qu’il faut faire de la jeunesse actuelle ? Combien de meurtres faudra-t-il attendre pour que les décisions qui s’imposent soient prises ?
Mais qui les prendra ? Un président de la République aux abonnés absents ? Un Premier ministre sur un siège éjectable. Qui alors ?
Et pourtant les réponses sont là, présentes à tous les esprits.
 
Est-ce que dans les années 50/70 les élèves allaient à l’école, au collège, au lycée, avec un couteau ? Est-ce qu’ils agressaient un instituteur, un professeur, etc. Certes non !
 
Le monde a changé, en tous les cas la France, et même profondément.
 
Alors que faire ? Les « ados » présentant des signes de violence, les moins de 15 ans en possession d’une arme (couteau ou autre) doivent immédiatement être mis hors du système éducatif, public ou privé et dirigé vers des CRF (Centres de Rééducation Fermés) jusqu’à leurs 18 ans et cela en pleine nature, loin des villes et encadrés par des militaires formés à l’éducation sévère.
 
Les plus de 18 ans, départ au Service Militaire Obligatoire dans des régiments d’élite. Par exemple le 13e régiment de dragons parachutistes, le 1er RPIMa, le 13e RDP, les Commandos, etc.
Durée de ce SMO, un an, 18 mois, ou 2 ans.
 
Pour les étrangers qui refuseront de quitter la France : direction la Légion étrangère, dans les conditions habituelles, ou relégation hors du territoire métropolitain (Saint-Laurent du Maroni, Cayenne, etc.)
 
On ne pourra aborder et mettre fin à cette situation dramatique qu’en mettant en pratique ces solutions et aucune autre.
On pourra tourner autour du pot (et d’une table devant les caméras) durant encore des années, je ne vois pas quelle autre solution pourrait mettre un terme à cette situation qui devient explosive, avant qu’elle n’explose !
 
Mais comment demander à un président de la République, qui n’a pas connu ce moment enchanté que fut notre service militaire, d’envisager sa remise à l’ordre du jour ?
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