CHIRAC la HONTE

Je ne pouvais laisser sous silence une telle monstruosité de l'Etat Français et du Ministère de l'Education Nationale.

Comme vous l'avez lu hier Djamila Amrane-Minne après s'être trouvée dans l'obligation de fuir Montpellier, devant la répulsion qu'elle inspirait aux Français d'Algérie de la région, obtenait une chaire à l'université du Mirail à Toulouse.

Enseignant lui-même, les stages de formation de Lionel Vives-Diaz se déroulaient sur ce même campus. Il y a huit ans il informait sa hiérarchie qu'il refusait de remettre les pieds dans cette université tant que cette terroriste s'y trouverait. Aucune réponse écrite bien sûr mais oralement on lui faisait connaître la décision de l'inspection académique : "Il n'était nullement tenu d'assister aux stages concernés mais surtout de ne pas soulever de vagues".

Né en 1939 en métropole Danièle Minne arrive en Algérie avec sa famille en 1948. A l'âge de 17 ans elle devient membre actif du "réseau bombes" sous les ordres du criminel Yacef Saadi. Le 26 janvier 1957 Danièle devenue Djamila dépose des bombes dans les toilettes des brasseries Otomatic et Le Coq-Hardi bilan 4 morts et 60 blessés dont plusieurs seront amputés.

Arrêtée et jetée en prison elle sera libérée dès l'indépendance et fêtée comme une héroïne nationale. Devenue après son mariage Djamila Amrane-Minne elle rentre en France sans manifester le moindre remord, sans jamais avoir rencontré le moindre obstacle elle devient universitaire puis suis une tranquille et sécurisante carrière de fonctionnaire de l'enseignement supérieur et, avec le soutien de l'Etat et de ses institutions, devient Maître de conférences.

En 2002 Djamila Amrane-Minne est nommée Professeur des Universités, le plus haut grade de la hiérarchie, et cela par un décret signé Jacques CHIRAC président de la république.

On aimerait savoir de quelles protections a bénéficié cette terroriste en France pour ne pas être le moins du monde inquietée et jetée dans une basse fosse ? 

Elle senseigne l'histoire de la décolonisation avec un intérêt plus particulier pour le sort réservé aux femmes sous la colonisation française (Incroyable mais vrai elle qui appartient à une religion où on décapite, lapide et torture les femmes, elle qui en janvier 1957 en a tué et blessé plus de 60).

Membre du Groupement de Recherches en Histoire Immédiate (GRHI) elle siégeait au jury de thèse universitaire et depuis quelques années cette criminelle coule une retraite honteuse et toute cette "brillante" carrière grâce à la complicité de sa hiérarchie et au silence de tous les médias français. Cette terroriste du FLN ayant du sang français sur les mains, le sang de nos enfants, de vos enfants, bénéficie de toutes les prestations publiques. Ne serait-ce pas la moindre chose (pour le moins) que pour le repos de ses victimes toutes ses prestations soient suspendues ?

Il est primordiale que tous les Français dignent de ce nom soient informés sur l'odieux visage de l'Etat Français et sa lâcheté quand il s'abaisse dans la plus indigne des forfaitures.

Il est primordiale que là où se dissimule cette criminelle, Djamila Amrane-Minne, tout son environnement la tienne dans le mépris qu'elle aurait toujours dû connaître.