DAECH : Nous attendons les noms des 416 donateurs français.

On marche vraiment sur la tête ! A quel niveau de stupidité criminelle peut sombrer un pays censé être intelligent ? Là il s’agit de l’Allemagne mais nous lirons plus avant que la France n’est pas mieux dotée face à certaines situations identiques, pour ne pas dire pire !

A Bochum (Allemagne) réside Sami A., sa femme et ses quatre enfants. Il perçoit chaque mois des aides sociales se montant à 1167,48 euros (cette somme correspond à un paiement de 194 euros/jour, pour le couple et environ 195/jour pour les quatre enfants. A ce montant s’ajoute d’autres avantages qui ne peuvent être dévoilés pour des raisons de protection personnelle.)

Il est vrai que Sami A. n’est pas n’importe quel migrant arrivé clandestinement et qui a trouvé refuge à Bochum. Il s’agit d’un ancien garde du corps d’Oussama ben Laden, chef du réseau terroriste Al-Qaïda, abattu par les américains.

L’information a été révélée par l’AFD (Parti Alternative pour l’Allemagne), confirmée par le président du groupe de travail de la CDU (Union Chrétienne-Démocrate) et diffusée par le quotidien « Bild ».

« Nous devons financer un terroriste, d’origine tunisienne, considéré comme un très dangereux prédicateur. Un djihadiste représentant une menace islamiste, parce que nous ne pouvons pas l’expulser. »

Et pourquoi ne peut-il pas être expulsé ? Parce qu’un tribunal allemand a conclu que Sami A. risquait de subir un traitement inhumain, ou soit des tortures, s’il était renvoyé dans son pays, la Tunisie.

Il est donc autorisé à résider à Bochum en n’ayant pour unique obligation que de se présenter chaque jour à la police.

Ce proche de ben Laden, qui a participé à des opérations de terrorisme sanguinaire à travers le monde, y compris l’abominable attentat du 11 septembre à New-York, doit être préservé du traitement qu’il pourrait subir en Tunisie.

C’est une aberration. Pourquoi ne pas le confier aux américains, à Donald Trump, qui sauront le traiter mieux qu’il ne le serait en Tunisie ?

Avant-hier l’Allemagne se révoltait contre les agressions, les vols, les viols, commis par les « migrants ».

Hier, l’Allemagne posait une « kippa » sur sa tête et se mobilisait contre l’agression d’un jeune juif. On montrait du doigt l’extrême droite alors que l’agresseur était un syrien.

Aujourd’hui, en Bavière, dans tous les bâtiments publics, des croix sont dressées pour affirmer que la religion musulmane n’est pas celle du pays. Que malgré son gouvernement, malgré Angela Merkel, l’Allemagne n’appartiendra jamais à l’islam.

Passons à la France : est-on mieux loti ? Certainement pas.

Au menu de la semaine : toujours des nuits d’émeutes à Toulouse, des dizaines de voitures brûlées.

Profanation d’un cimetière chrétien à Castres.

Une jeune femme médecin agressée et rouée de coups, quartier Pissevin à Nîmes, ce lundi 23.

D’autres voitures incendiées à Bagnolet et un blessé par balle. Ce n’est que du trafic de drogue, comme partout ailleurs, dans d’autres quartiers interdits aux forces de l’ordre.

A Grenoble, deux femmes qui refusaient les avances d’une bande d’individus, frappées, agressées, nez cassé et mordues à la cuisse, au mollet, par un chien de race « malinois » lancé contre elles.

Toujours à Grenoble, ce jeudi : un jeune homme de 23 ans, qui déjeunait dans un parc avec sa petite amie, a tenté de s’opposer à l’agression d’un homme par une bande de voyous. Il a été à son tour « passé à tabac » : bilan, fracture de la mâchoire.

A Marseille, dans le Xe arrondissement, Parce qu’il s’est opposé au trafic de drogue devant son immeuble, une bande d’une dizaine de « chances pour la France » a défoncé sa porte, pénétré chez lui. Il a été tabassé : dix points de suture sur le crâne. Même son petit chien n’a pas échappé aux dealers. Olivier ne sort plus de chez lui, il se barricade.

Et pendant que la France s’inquiète, se désole, Jawad Bendaoud, le logeur acquitté des terroristes, celui qui menace sa compagne de « mort », se fout de la gueule des magistrats, fait son « show » devant les médias, se vante de gagner 9000 euros/mois grâce à la pub et à la « notoriété » produites par « ses victoires » sur la justice et promet que ce n’est pas fini.

Mais nous avons mieux, du plus « lourd » :

Le procureur de la République de Paris, François Molins, nous annonce froidement qu’en France 416 donateurs ont financé le groupe Etat Islamique et qu’ils sont identifiés (parmi eux la Banque Postale, paraît-il). Ces donateurs sont les complices des assassinats de « Charlie Hebdo », de l’Hyper Cacher, Du Bataclan.

Que de son côté « Tracfin » a identifié également 320 collecteurs de fonds pour ce même EI, situés en Turquie et au Liban (Ce qui ne nous étonne guère).

25.000 euros d’un côté, 80.000 euros de l’autre, récoltés pour tuer sur notre sol. Des parents, de ces terroristes, sont soupçonnés et même quelques-uns condamnés.

Et les autres ? Ces 416 de France ? Puisqu’ils sont identifiés, qui sont-ils ? Les étrangers, parmi eux, ont-ils été expulsés ? Les binationaux, ont-ils été déchus de leur nationalité et expulsés ? Nous aimerions le savoir, en être informés, puisqu’il s’agit de nos vies, de notre pays ! Puisque nous sommes, paraît-il, en guerre !

Nous attendons, nous espérons, les noms des coupables, des complices. Les descendants, sans aucun doute, de ceux qui finançaient le FLN, lors de la guerre d’Algérie et qui, depuis quelques années, financent Daech, protègent les « casseurs », incitent à la violence contre les forces de l’ordre, la police, les pompiers, les médecins, les chrétiens, les juifs et même les « morts » dans nos cimetières.

Ceux qui n’aiment pas la France, qui n’ont jamais aimé la France, cette France profonde qui m’a tant « apaisé » avant-hier lors de l’émission « Des racines et des ailes » consacrée à « Mon village en Provence ». Des villages dans le Lubéron, sous le Mont Ventoux, sans migrants, sans racaille. Quelle est belle « cette France-là » ! Qu’il y fait « bon vivre » !