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N° 59 – DOUCE FRANCE, cher pays de mon enfance, où les ventes d’armes sont interdites !

**Il y avait quelques jours que la ville de Nantes n’était pas d’actualité, laissant la vedette à sa concurrente Rennes.

Ce 25 août vers 18 h, rue Samuel de Champlain (Chêne des Anglais), sur la plaine de jeux de l’Amande, un individu âgé de 40 ans, de nationalité marocaine, sans papier d’identité mais déjà connu des services de police pour usage de stupéfiants, a été tué par cinq coups de couteau, dont un mortel dans le dos.

Le meurtrier s’est enfui dans les bois qui bordent la mosquée voisine. Il court toujours.

Bien que le mobile de ce meurtre ne soit pas connu, la police explique que comme ce quartier est un point névralgique du trafic de drogue, il s’agit probablement d’une histoire de stupéfiant ou, peut-être, une histoire entre marocains.

Dès le lendemain, dimanche 26 août, les pompiers ont pris en charge un individu gravement blessé également à coups de couteau portés au thorax, à l’abdomen et à l’œil.

De nationalité soudanaise, la victime « résidait » dans le camp installé depuis le début de l’été square Daviais, où l’insécurité et la situation sanitaire cessent de s’aggraver quotidiennement.

« De nombreuses agressions se produisent entre les dealers maghrébins, installés à « Commerce » et les migrants illégaux.

Les couteaux sortent immédiatement et les bagarres éclatent pour des motifs quelquefois futiles, un regard de travers, ou alors liés au trafic de drogue ou aux vols ». Explique un responsable de la police nantaise.

Apparemment, cette situation explosive n’inquiète nullement la maire, Johanna Rolland, ni sa municipalité rassemblant tous les courants des gauches pro-immigrations.

Et l’opposition « Républicaines » ? Elle est silencieuse, mais les citoyens nantais s’en souviendront lors des prochaines élections !

Toujours à Nantes, samedi dernier, à la sortie d’une boîte de nuit, quatre jeunes filles ont été violemment agressées par des migrants clandestins.

L’une d’elles a reçu de graves blessures qui ont nécessité des points de suture sur le crâne (bouteille de bière cassée sur sa tête) et des hématomes sur tous le corps (coups de pieds).

Plainte a été déposée avec description exacte des deux voyous : Noir, 1m75, tee shirt blanc avec une tête de tigre, de marque Kenzo. Le second, noir également, 1m70 environ, chevaux courts et collier rouge autour du cou.

Bien entendu pas de police à proximité.

Le père de la jeune fille blessée a fustigé l’inaction de la police et de la municipalité à l’encontre de plus de 400 migrants illégaux installés dans un square du centre-ville.

Auxerre (Yonne) – Le parquet de l’Yonne a délivré deux mandats d’arrêts à l’encontre des deux migrants illégaux, de nationalité afghane, soupçonnés d’avoir violé collectivement, le 5 août dernier, un adolescent âgé de 15 ans.

Une enquête judiciaire pour viol en réunion a été ouverte, après plainte déposée par la victime.

Saint-Malo (Ile et Vilaine) – Elle avait fêté un mariage et rentrait chez elle au petit matin lorsqu’un individu s’est jeté sur elle. Il l’a frappé avant de tenter de la violer. Elle est parvenue à lui échapper mais il l’a poursuivi, l’a rattrapé et tenté de nouveau de l’agresser sexuellement.

Des passants courageux l’ont mis en fuite.

Formellement identifié par ces derniers, il s’agissait d’un migrant de nationalité albanaise, il s’est rendu lui-même au commissariat dans la nuit de dimanche à lundi.

Dans la nuit du 31 août au 01 septembre, une dizaine de voitures ont été incendiées dans les rues Corot et Isabey, à Pontanézen, où, comme on le sait, s’affrontent régulièrement albanais et turcs pour des raisons liées au trafic de drogue.

Au cours de cet été ce sont 22 voitures qui ont été incendiées à Pontanézen, toujours dans le quartier de l’Europe et quelques dizaines d’autres à Brest et sa région.

A l’autre bout, la Bretagne n’est pas épargnée. A Clisson et Gorges ce sont également des dizaines de voitures qui ont été détruites au cours de cette même nuit de fin août, notamment sur le parking de la gare SNCF de Clisson.

Besançon (Doubs) – Le Parc Micaud est connu pour être un lieu de rencontre, le soir venu, pour la communauté homosexuelle de Besançon.

Or, depuis début juillet, et cela s’est poursuivi depuis, des expéditions punitives s’organisent contre les « gays ». menées par une bande d’une quinzaine de jeunes, âgés de 15 à 20 ans, qui « tombe » à bras raccourcis sur un « homo », le rouent de coups, le tabassent proprement puis lui demande de se sauver avant de le rattraper et de le plaquer au sol pour le frapper de nouveau.

Certaines victimes ont dû être hospitalisées avec des traumatismes importants.

Une dizaine d’agressions de la sorte ont été dénombrées depuis le début de juillet, à tel point que les associations «LGBTA » demandent aux homosexuels de ne plus se rendre dans ce Parc la nuit venue.

Le chef de la sureté départementale de Besançon, Charly Kmyta, indique que ses services sont mobilisés pour essayer d’identifier les agresseurs : « Le mobile homophobe semble avérer mais il y a également des agressions sans mobile apparent dans ce même secteur ».

 

 

 

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