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La question qui se pose est : Si le chauffeur de bus n’avait pas été un Algérien aurait-il tué volontairement cet automobiliste ?

Cela s’est passé dans le VIIe arrondissement de Paris, quai Voltaire.

Une altercation comme il y en a dix dans la capitale chaque jour. Après avoir été légèrement percuté par le bus qui le suivait, un automobiliste âgé de 56 ans sort de son véhicule et interpelle le chauffeur du bus. Ils s’invectivent copieusement, sans en venir aux mains puisque la vitre est fermée.

C’est ensuite que le chauffeur du bus démarre et écrase l’automobiliste en le coinçant contre un autre bus.

C’est ainsi qu’est mort un homme ce dernier mardi.

Cela aurait pu être un banal accident de la circulation mais non ! Selon divers témoignages il s’agirait d’un « homicide volontaire » causé par un chauffeur de bus parisien, âgé de 46 ans et résident dans le XVe arrondissement.

Pourquoi dissimuler que ce chauffeur est d’origine algérienne, né en Algérie en 1973 et se nommerait Omar N. ?

Pour que de nouveau un amalgame ne puisse se faire ?

Ce chauffeur de bus n’avait pas d’alcool dans le sang, selon l’enquête confiée à la Police Judiciaire du 3e district, ce qui paraît logique pour un musulman, surtout en période de Ramadan qui n’est pas une fête, contrairement à ce que l’on peut croire, notamment comme Anne Hidalgo, mais une période de punition infligée au nom du prophète.

Est-ce, peut-être, la raison de la perte de son contrôle en de telles circonstances ?

Toulouse (Haute Garonne) Lundi soir, vers 23 h. un homme âgé de 52 ans est violemment agressé, place de la Cépière, à coups de machette.

Il est dirigé vers l’hôpital, par les pompiers, avec une plaie à la main droite et une autre à l’arcade sourcilière.

Ses jours ne sont pas en danger.

L’agresseur, un voyou âgé de 23 ans, déjà connu défavorablement par les services de police, a été appréhendé et placé en garde à vue.

Ses origines n’ont pas été dévoilées !

A Cournon-d’Auvergne (Puy de Dôme) – Il a 26 ans, prend sa voiture stationnée devant chez lui, est bloqué au bout de quelques mètres par un autre véhicule, occupé par deux personnes, dont une femme, un coup de feu l’atteint.

Touché une première fois, il tente une manœuvre pour s’enfuir, mais un second tir lui est fatal. Il percute le mur d’une habitation un peu plus loin.

Cela s’est passé mardi, en fin d’après-midi.

Sans doute victime d’un guet-apens prémédité.

Selon le procureur adjoint de la République, Bruno Fauch, il pourrait s’agir soit d’un règlement de comptes sur trafic de stupéfiants, soit d’un différend amoureux ?

Le maire de Carrières-sous-Poissy, Christophe Delrieux, se dit très inquiet et impressionné par le niveau inégalé de cette violence urbaine.

Une cinquantaine de jeunes voyous, âgés de 16 à 20 ans, se sont affrontés, armés de cutter, barres de fer et autres objets dangereux. Ils ont été interpellés et placés en garde à vue.

Signalés par des riverains excédés et observés par le système de vidéosurveillance de la ville, un groupe sortant d’une voiture a pénétré dans le bus 272 pour attaquer les autres racailles qui n’avaient pas de véhicule.

Un autre rassemblement, vers 20 h 45, d’une trentaine de voyous, place des Lupins, à Carrières-sous-Poissy, a été intercepté par la police qui a saisi sept engins incendiaires et ensuite la police municipale a interpellé une voiture en provenance de Sartrouville occupée par des jeunes armés de matraques télescopiques et d’un « Nunchaku ».

Trois blessés ont été signalés.

**Au cours de l’année 2018 il n’a été comptabilisé que dix évasions de détenus des prisons françaises. Dix de trop certes mais rien de comparable à 2019 où, lors de cette dernière semaine, ce sont six délinquants qui se sont échappés, empruntant la filière connue des « visites médicales en extérieur » et un septième en se rendant au bureau de vote mis à sa disposition.

Ile étaient emprisonnés pour des trafics de stupéfiants, vols et différents faits de droit commun.

C’est sans doute le moyen choisi pour faire de la place dans nos prisons surchargées !

Un dernier mot pour signaler ce que les médias occultent : les églises incendiées ou vandalisées et les cimetières profanés : Dijon, Notre-Dame – Houilles, Saint Nicolas – Lavaur (Tarn) – Nîmes, Notre-Dame des Enfants – Valbenoîte (Loire) – Bédarieux (Hérault) – Romilly-en-Puthenay (Eure) – et j’en oublie très certainement !

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