Le lavage de cerveau imposé insidieusement.

Il y a quelques décennies on nous mettait en garde contre les « images subliminales » (Ces images que notre œil ne détecte pas mais que notre cerveau enregistre et imprime inconsciemment) incorporées dans de nombreuses publicités et destinées à nous procurer, malgré nous, le désir de goûter, de consommer, et surtout d’acheter, les produits en question. Ce fut le cas notamment de la publicité «Coca Cola» et autres marques mondiales, citées dans cet excellent documentaire télévisé.

Aujourd’hui il n’est plus nécessaire d’employer de tels stratagèmes pour manipuler et imprimer dans l’esprit de notre jeunesse, et des Français en général, et cela à longueur de journée et de soirée, ce que nous constatons davantage que par un récent passé puisque nous sommes confinés « devant nos postes de télévision » et obligés d’en subir le « lavage permanent de cerveau ».

Les images (qui ne sont plus subliminales) s’affichent « plein écran » et l’objectif n’est plus dissimulé : il s’agit d’inculquer à notre jeunesse, et à une majorité de citoyens pas encore convaincu, la notion que le multiculturalisme et l’homosexualité font partie de notre existence et que l’on peut s’y adonner non seulement sans aucun a priori mais, bien au contraire, avec une certaine délectation.

Que les contacts, baisers, actes sexuels ou union, entre un Africain, un Arabe et une Européenne, ou le contraire, un européen avec une Africaine ou une Arabe, sont des pratiques tout à fait naturelles, qui ne doivent plus choquer, sous peine d’être considéré comme « racistes » ! Que de ne pas s’extasier devant la passion entre deux hommes ou les attouchements entre deux femmes, ce serait de l’homophobie.

Il n’y a plus une publicité, un film, une série télé, un documentaire, etc. où ne figure pas dans le casting une « personne de couleur », ou « originaire du Maghreb » qui, comme par hasard, a toujours le beau rôle et démontre sa supériorité intellectuelle.

Il n’y a plus une publicité, un film, une série télé, un documentaire, etc. qui ne présente pas un couple d’homosexuel, femmes ou hommes, qui dès les prémices nous annoncent la couleur, pardon, je voulais dire leur bonheur de vivre leur passion.

Ainsi dans une série policière il est inutile de monopoliser votre attention sur l’un de ces « rôles » car ce ne sera jamais lui le coupable, le méchant, bien au contraire, ce sera toujours lui l’incompris, celui qui souffre et qui aide les « blancs » à comprendre l’absurdité de leurs soupçons !

Car il sera soupçonné, bien évidemment, à cause de sa couleur ou de son origine, mais soyez rassurés, il n’aura ni voler, ni violer, ni assassiner, ce sera toujours « l’autre », un « Blanc », le coupable !

Si vous ne l’avez pas encore constaté, ce qui m’étonnerait tout de même, prêtez-y attention :

Il y a quelques décennies les personnages incarnés par ces comédiens étaient toujours sous les ordres des « Blancs » (Navarro par exemple), aujourd’hui, les policiers, gendarmes, médecins, cadres, pompiers, etc. de couleur ou d’origine maghrébine, sont, en général, les supérieurs des «blancs» : commandants de police ou de gendarmerie dans les « polars », juges, avocats, médecins, etc. (Voir : RIS police scientifique, Section de Recherches, Chérif, Sur les quais, Caïn, Plus belle la vie, Un si grand soleil, etc. sans omettre les séries américaines qui poussent le bouchon encore plus loin, par exemple « Rosewood » et bien d’autres. Toujours plus sympathiques et plus intelligents face à la bêtise et à la vulgarité de leurs subordonnés à la face pale.

On se demande même comment certaines « gendarmettes » de couleur, qui sont affectées, les malheureuses, dans des gendarmeries de haute montagne, peuvent supporter ce grand froid et cette neige. Je me demande même s’il ne faudrait pas revoir certains « casting » car ce me semble être une sorte de punition.

Trop c’est trop. À vouloir tant démontrer on finit par lasser.

Fort heureusement, dans la « vraie vie », il y a des policiers, gendarmes, médecins, pompiers, infirmiers, etc. de « couleur » ou d’origine maghrébine, qui font leur métier et se dévouent avec passion et intelligence.

Pourtant, et nous le constatons trop souvent, il y a aussi des individus de « couleur » ou d’origine maghrébine, qui sont des «méchants», qui volent, qui violent, qui tuent, j’allais dire « comme tout le monde », mais on ne l’affiche pas sur nos écrans et très souvent même on le dissimule volontairement, par conseil ou sur ordre.

Peut-être d’ailleurs cela n’existe-t-il que dans notre imagination « raciste » ? Bien entendu

A l’origine, la dénomination commune de ce « racisme » anti-blanc était la « décolonisation » ou « l’esclavage » : l’Occident était responsable, il fallait défendre les « opprimés », de « couleur » ou d’origine maghrébine. Comme il fallait défendre les homosexuels des deux sexes, mis au ban de la société pour leur « anomalie » supposée.

A présent, l’idée directrice, vous l’avez parfaitement compris, et d’endoctriner la population française, la préparer insidieusement aux bienfaits du multiculturalisme et, pourquoi pas, de l’homosexualité. De viser, en tous les cas, les Français qui ne sont pas encore convaincus et de conforter dans leur opinion ceux qui le sont déjà.

L’objectif recherché est, mais vous l’avez parfaitement compris également, l’accueil des « migrants », des « Chances pour la France » venues d’Afrique, du Maghreb ou d’ailleurs.

Il faut remplacer le « Blanc », » l’Occidental », autant que faire se peut.

Hier (2018), dans sa cité d’Orléans, Jeanne d’Arc était métissée. Le docteur Knock et Arsène Lupin peuvent également changer de couleur, alors pourquoi pas Charlemagne, Louis XIV et même…de Gaulle !