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Il y a un siècle et il avait compris :

« Tant qu’ils seront musulmans, ils ne seront jamais français. Ils attendront, plus ou moins patiemment, le jour du « medhi » et ils soumettront la France »

Qui a prononcé cet avertissement prémonitoire ?

Le père Charles de Foucauld, assassiné il y a un peu plus de cent ans, le 1er décembre 1916, par des musulmans.

Il ajoutait : « Si nous n’avons pas su faire de ces peuples (les Arabes) des français alors ils nous chasseront.

Le musulman considère l’islam comme sa vraie patrie et les peuples non musulmans sont destinés à être, tôt ou tard, subjugués par lui ou ses descendants.

Sa foi l’assure qu’il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti. »

Il y a soixante ans (pourtant c’est loin d’être un ami) mais il avait également compris : Il s’agit de De Gaulle :

À Michel Debré : « Les Arabes, ce n’est rien. Jamais on n’a vu des Arabes construire des routes, des barrages, des usines. Après tout peut-être n’ont-ils pas besoin de routes, de barrages, d’usines. Ce sont d’habiles politiques. Ils sont habiles comme des mendiants. »

Au général Catroux : « Les noirs sont de braves bougres. Ils ne sont pas animés par la même passion, par la même haine que les Arabes. Il n’y a pratiquement pas de noirs en dehors de l’Afrique noire, alors que le mouvement pan-arabe va bien au-delà du Maghreb. »

Au général Allard : « Si nous faisons l’intégration, si tous les Arabes et Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s’installer en métropole alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Avez-vous songé que les Arabes se multiplieront par cinq, puis par dix, pendant que la population française restera presque stationnaire ? Il y aurait deux cent puis quatre cent députés arabes à Paris. Vous voyez un président Arabe à l’Élysée ? Il vaut mieux une Algérie algérienne au sein de la communauté, qu’une Algérie française au sein de la France qui nous mettrait à plat pour toujours. »

A Cyrus Sulzberger, directeur du New-York Times, lors d’une interview : «Qu’est-ce que les Arabes? Les Arabes sont un peuple qui, depuis les jours de Mahomet, n’ont jamais réussi à constituer un État. Avez-vous une digue construite par les Arabes? Nulle part. Cela n’existe pas. Les Arabes disent qu’ils ont inventé l’algèbre et construit d’énormes mosquées. Mais ce fut entièrement l’œuvre des esclaves chrétiens qu’ils avaient capturés. Ce ne furent pas les Arabes eux même. Ils ne peuvent rien faire.»

À son fils, Philippe de Gaulle : « Si une communauté n’est pas acceptée, c’est qu’elle ne donne pas de bons produits, sinon elle est admise sans problème. Si elle se plaint de racisme à son égard, c’est parce qu’elle est porteuse de désordre. Quand elle ne fournit que du bien tout le monde lui ouvre les bras. Mais il ne faut pas qu’elle vienne chez nous imposer ses mœurs. »

Il y a un peu plus de cent ans, il y a soixante ans, ils avaient compris, et vous tous, depuis des décennies, vous les Giscard-d’Estaing, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande et bien entendu Macron, vos premiers ministres et vos ministres de l’Intérieur, vous n’avez rien compris et, ce qui est bien plus grave, si vous aviez compris mais n’avez pris aucune décision, vous êtes davantage responsables de centaines de morts innocentes.

Vous n’avez pas compris que ce ne sont pas les terroristes mais l’islamisme radical, avec ses « croyants », qui applique la volonté d’Allah, dictée par son prophète.

Les responsables de la religion catholique eux n’ont plus n’ont rien compris, depuis le Pape et jusqu’aux évêques. Pourtant l’assassinat sauvage des sept moines de Tibhirine, par les terroristes islamistes algériens, des curés à Nice, en Vendée, à Saint-Etienne-du-Rouvray des églises, des synagogues incendiées, vandalisées, etc. aurait dû leur faire comprendre. Mais ne venons-nous pas d’en entendre un, d’évêque, dire « qu’il fallait pardonner » ? et, pourquoi pas, « tendre l’autre joue ».

Nombreux parmi vous étiez des fervents partisans de l’entrée de la Turquie, du dictateur Erdogan, au sein de l’Union Européenne.

En êtes-vous toujours convaincus ?

Alain Juppé, ministre des Affaires Étrangères, en 2011, ne s’est-il pas rendu en Égypte afin de soutenir les « Frères Musulmans », après la chute d’Hosni Moubarak, et n’a-t-il pas composé-t-il avec les islamistes de l’Association des musulmans de Gironde.

Se souvient-il de son discours, à Alger, le 1er février 2016 ? : « La France est riche de sa diversité. Les « binationaux » sont une passerelle entre nos deux pays. La déchéance de nationalité = efficacité zéro. Le regroupement familial est un droit et l’Europe aura sans doute besoin d’un apport de main-d’œuvre étrangère, etc. »

Il aurait dû prendre connaissance, comme vous tous d’ailleurs, mais surtout des gauchistes obtus de « La France (In)soumise » à la « créolisation » et aux Islamistes, des « Vingt principes pour comprendre l’Islam » par Hassan al-Banna, fondateur des Frères Musulmans :

« C’est une organisation complète qui englobe tous les aspects de la vie, c’est tout à la fois un état et une nation, ou encore un gouvernement et une communauté. C’est également une morale et une force ou encore le pardon de la justice, etc. mais c’est surtout une lutte dans la voie de Dieu et un appel, ou encore une armée et une pensée.

Les lois du Coran sont immuables et universelles, elles ne peuvent être ni critiquer, ni modifier, puisqu’elles parviennent de Dieu par Mahomet »

Certains de ceux que j’ai cité plus haut, et qui sont encore parmi nous, prétendent-ils toujours que l’islam est compatible avec la république française ?

Apparemment l’actualité a changé. Il s’agit à présent de « construire » un islam de France. Etes-vous conscient de cette absurdité ? Croyez-vous une seule seconde que vous allez obtenir la réforme d’une religion plus que millénaire, pour s’adapter à une République dont ils se moquent « comme de leur première djellabah » !

Nous attendons avec une certaine ironie l’ubuesque loi « sur l’immigration » qui va être débattue à l’Assemblée Nationale : déjà son titre, car cette loi devrait être présentée « contre l’immigration clandestine ». Mais ce n’est pas une « Loi » qui stoppera notre envahissement mais uniquement des décisions…que personne n’aura le courage de prendre !

 

 

« Tant qu’ils seront musulmans, ils ne seront jamais français. Ils attendront, plus ou moins patiemment, le jour du « medhi » et ils soumettront la France »

Qui a prononcé cet avertissement prémonitoire ?

Le père Charles de Foucauld, assassiné il y a un peu plus de cent ans, le 1er décembre 1916, par des musulmans.

Il ajoutait : « Si nous n’avons pas su faire de ces peuples (les Arabes) des français alors ils nous chasseront.

Le musulman considère l’islam comme sa vraie patrie et les peuples non musulmans sont destinés à être, tôt ou tard, subjugués par lui ou ses descendants.

Sa foi l’assure qu’il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti. »

Il y a soixante ans (pourtant c’est loin d’être un ami) mais il avait également compris : Il s’agit de De Gaulle :

À Michel Debré : « Les Arabes, ce n’est rien. Jamais on n’a vu des Arabes construire des routes, des barrages, des usines. Après tout peut-être n’ont-ils pas besoin de routes, de barrages, d’usines. Ce sont d’habiles politiques. Ils sont habiles comme des mendiants. »

Au général Catroux : « Les noirs sont de braves bougres. Ils ne sont pas animés par la même passion, par la même haine que les Arabes. Il n’y a pratiquement pas de noirs en dehors de l’Afrique noire, alors que le mouvement pan-arabe va bien au-delà du Maghreb. »

Au général Allard : « Si nous faisons l’intégration, si tous les Arabes et Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s’installer en métropole alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Avez-vous songé que les Arabes se multiplieront par cinq, puis par dix, pendant que la population française restera presque stationnaire ? Il y aurait deux cent puis quatre cent députés arabes à Paris. Vous voyez un président Arabe à l’Élysée ? Il vaut mieux une Algérie algérienne au sein de la communauté, qu’une Algérie française au sein de la France qui nous mettrait à plat pour toujours. »

A Cyrus Sulzberger, directeur du New-York Times, lors d’une interview : «Qu’est-ce que les Arabes? Les Arabes sont un peuple qui, depuis les jours de Mahomet, n’ont jamais réussi à constituer un État. Avez-vous une digue construite par les Arabes? Nulle part. Cela n’existe pas. Les Arabes disent qu’ils ont inventé l’algèbre et construit d’énormes mosquées. Mais ce fut entièrement l’œuvre des esclaves chrétiens qu’ils avaient capturés. Ce ne furent pas les Arabes eux même. Ils ne peuvent rien faire.»

À son fils, Philippe de Gaulle : « Si une communauté n’est pas acceptée, c’est qu’elle ne donne pas de bons produits, sinon elle est admise sans problème. Si elle se plaint de racisme à son égard, c’est parce qu’elle est porteuse de désordre. Quand elle ne fournit que du bien tout le monde lui ouvre les bras. Mais il ne faut pas qu’elle vienne chez nous imposer ses mœurs. »

Il y a un peu plus de cent ans, il y a soixante ans, ils avaient compris, et vous tous, depuis des décennies, vous les Giscard-d’Estaing, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande et bien entendu Macron, vos premiers ministres et vos ministres de l’Intérieur, vous n’avez rien compris et, ce qui est bien plus grave, si vous aviez compris mais n’avez pris aucune décision, vous êtes davantage responsables de centaines de morts innocentes.

Vous n’avez pas compris que ce ne sont pas les terroristes mais l’islamisme radical, avec ses « croyants », qui applique la volonté d’Allah, dictée par son prophète.

Les responsables de la religion catholique eux n’ont plus n’ont rien compris, depuis le Pape et jusqu’aux évêques. Pourtant l’assassinat sauvage des sept moines de Tibhirine, par les terroristes islamistes algériens, des curés à Nice, en Vendée, à Saint-Etienne-du-Rouvray des églises, des synagogues incendiées, vandalisées, etc. aurait dû leur faire comprendre. Mais ne venons-nous pas d’en entendre un, d’évêque, dire « qu’il fallait pardonner » ? et, pourquoi pas, « tendre l’autre joue ».

Nombreux parmi vous étiez des fervents partisans de l’entrée de la Turquie, du dictateur Erdogan, au sein de l’Union Européenne.

En êtes-vous toujours convaincus ?

Alain Juppé, ministre des Affaires Étrangères, en 2011, ne s’est-il pas rendu en Égypte afin de soutenir les « Frères Musulmans », après la chute d’Hosni Moubarak, et n’a-t-il pas composé-t-il avec les islamistes de l’Association des musulmans de Gironde.

Se souvient-il de son discours, à Alger, le 1er février 2016 ? : « La France est riche de sa diversité. Les « binationaux » sont une passerelle entre nos deux pays. La déchéance de nationalité = efficacité zéro. Le regroupement familial est un droit et l’Europe aura sans doute besoin d’un apport de main-d’œuvre étrangère, etc. »

Il aurait dû prendre connaissance, comme vous tous d’ailleurs, mais surtout des gauchistes obtus de « La France (In)soumise » à la « créolisation » et aux Islamistes, des « Vingt principes pour comprendre l’Islam » par Hassan al-Banna, fondateur des Frères Musulmans :

« C’est une organisation complète qui englobe tous les aspects de la vie, c’est tout à la fois un état et une nation, ou encore un gouvernement et une communauté. C’est également une morale et une force ou encore le pardon de la justice, etc. mais c’est surtout une lutte dans la voie de Dieu et un appel, ou encore une armée et une pensée.

Les lois du Coran sont immuables et universelles, elles ne peuvent être ni critiquer, ni modifier, puisqu’elles parviennent de Dieu par Mahomet »

Certains de ceux que j’ai cité plus haut, et qui sont encore parmi nous, prétendent-ils toujours que l’islam est compatible avec la république française ?

Apparemment l’actualité a changé. Il s’agit à présent de « construire » un islam de France. Etes-vous conscient de cette absurdité ? Croyez-vous une seule seconde que vous allez obtenir la réforme d’une religion plus que millénaire, pour s’adapter à une République dont ils se moquent « comme de leur première djellabah » !

Nous attendons avec une certaine ironie l’ubuesque loi « sur l’immigration » qui va être débattue à l’Assemblée Nationale : déjà son titre, car cette loi devrait être présentée « contre l’immigration clandestine ». Mais ce n’est pas une « Loi » qui stoppera notre envahissement mais uniquement des décisions…que personne n’aura le courage de prendre !

 

 

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