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« Lorsque l’enfant paraît », cette remarquable comédie que nous devons à André Roussin, offerte en 1951 avec 66 ans d’avance sur celle que nous vivons depuis 2017 « Lorsque l’enfant a paru » écrite par une France totalement démobilisée politiquement après la présence sur scène d’un intermittent du spectacle à qui le premier rôle a été proposé pendant cinq années, qui est arrivée à l’Élysée en voiture de luxe pour en repartir en scooter.

Une France où 50 % de la population se « fout » complètement de son destin au point de ne même pas faire les cent mètres qui la conduiraient jusqu’au bureau de vote le plus proche.

Et, ce qui est bien plus aberrant, a laissé sur scène ce jeune premier après avoir cependant assisté à un « premier acte » totalement affligeant (2017/2022).

Il est vrai que ce jeune premier, Emmanuel Macron, est un acteur qui possède totalement son rôle. Il récite magnifiquement les textes qu’on lui écrit, nettement moins à l’aise dans les entretiens qu’il propose et totalement défaillant dès qu’il se trouve « livré à lui-même », dépendant de ses propres connaissances qui, et nous avons eu l’occasion de le constater à de nombreuses reprises, ont prouvé qu’il n’avait pas retenu ce qu’il avait ou aurait dû apprendre lors de son passage à l’ENA, tout au moins concernant l’Histoire du Monde en général et de la France en particulier.

Cela a commencé avec une déclaration frisant l’absurdité : « Les crimes contre l’humanité » commis par la colonisation française en Algérie de 1830 à 1962. Il est vrai, à sa décharge, que quand son maître à penser sur ce sujet se nomme Benjamin Stora, tout est à craindre.

Je passe sur de nombreuses absurdités, aussi bien sur les scènes françaises qu’européennes, avec sa partenaire préférée Madame von der Leyen, pour ne retenir que les plus récentes : par exemple « Israël a le droit de se défendre », le lendemain du 7 octobre, pour un « cessez-le-feu immédiat » quinze jours plus tard. Son tout récent « partenariat de dix années avec l’Ukraine » (il est vrai qu’entre acteurs on se soutient) puisqu’il faut nécessairement imiter l’Union européenne, et cela en dépit d’une évidence qui lui est étrangère : l’Ukraine ne peut pas gagner cette guerre et la Russie ne peut pas la perdre ! Quant au « pitre » Zelensky, sera-t-il encore là en 2025 ? On peut en douter !

Sa toute récente et magnifique plaidoirie pour le « communisme », lors de l’hommage rendu aux résistants étrangers du « groupe Manouchian » et sa déclaration réservée au quotidien L’Humanité, préférant oublier, ou ne le sachant pas (j’en doute !) que les communistes français et L’Humanité, avaient été les complices des « Nazis » jusqu’en juin 1941, commettant des sabotages contre la France, leur Patrie, pour servir l’occupant, liés par un pacte avec l’URSS.

Et, enfin, la plus comique de toutes ces absurdités, la plus récente également : la convocation des « Soulèvements de la Terre » à une conférence-dialogue avec les représentants des agriculteurs. Fort heureusement le Président a « rétro-pédalé » dans les heures qui ont suivi, ce qui a évité un désastre mais n’empêchera pas une « bronca » spectaculaire lors de sa présence au Salon de l’Agriculture.

Mais je n’ai aucun doute sur la performance d’acteur d’Emmanuel Macron dès après 2027 : il aura le premier rôle dans la nouvelle comédie dramatique, comme président d’une Union européenne dont l’objectif majeur et principal sera la réalisation d’une Europe des États, la fin des nations souveraines et l’ouverture des frontières à l’immigration légale et illégale.

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